Quand Marine rime avec jacobine
On connaissait les polémiques sur la question du racisme et de l’antisémitisme concernant son père, on savait Marine Le Pen totalement opposée à la signalétique routière en breton, celle-ci précise désormais sa position sur les questions de dévolutions de pouvoirs aux « régions » et d’officialisation des langues dites régionales.
En effet, voici la réponse apportée par Marine Le Pen à l’un de nos correspondants lui demandant sa position sur l’autonomie et les langues bretonnes :
« Défendre et promouvoir les cultures régionales ne doit pas se faire au détriment de la cohésion nationale. «
« La République est une et indivisible et il serait dangereux de faire croire aux régions qu’elles seraient plus fortes en s’affranchissant du lien national. «
« Face aux dangers de la mondialisation, seules les Nations puissantes et structurées seront à même de résister. »
« L’unité linguistique qui est indissociable de la cohésion nationale doit être défendue sans réserve. »
À quelques mois des élections présidentielles, de nombreux bretons tentés par le vote Le Pen sauront désormais à quoi s’en tenir.
Marine Le Pen, se défendant d’être fasciste, semble plutôt attirée par les thèses de l’ancêtre du fascisme : le jacobinisme.
Rien de bien surprenant dans tout cela. Si on pouvait déjà en avoir une idée, maintenant au moins nous pouvons êtres certains de ce qui attend nos langues et nos cultures si certains font le mauvais choix l’année prochaine…
Marine le Pen d’origine bretonne combattant le breton, c’est un peu comme Franco le Basque qui combattait le basque…et les Basques, et qui a réussi à faire croire au monde que toute l’Espagne était andalouse….
(Toute ressemblance avec des personnes ayant existé étant fortuite !!!!)
C’est, pour revenir au cas de la Bretagne, le cas de Le Chapelier qui défend et fait voter en 1789 la loi sur l’abolition des privilège, ce qui entraînera la fin de la province de Bretagne qui tenait encore sur les actes de 1532. Cela amènera entre autre la départementalisation dont nous payons toujours les conséquences.
non Franco était galicien.
Effectivement, on trouve souvent les pires chez des gens qui ne sont pas eux-mêmes de l’identité qu’ils défendent à mort, ayant le crane dominé par le cerveau reptilien. Celui des réflexes (notamment de peur) dirigeant leur intelligence. Ils ont effectivement un comportement instinctif très bête, très proche de l’animalité, et malheureusement, ça n’empêche pas une intelligence qui fonctionne très bien pour la réalisation de leurs buts, ancrés dans la haine et le complexe de supériorité.
Autant pour moi, mais le principe reste valable.
