Demat Alan,
Tu nous as gratifié de la mise en ligne du texte de Reflets, véritable manifeste pour une identité bretonne et universelle, culturelle et Politique, ce texte n’a, entre autre, dans l’énergie qu’il procure, pas pris une ride. Dans les années 70, au diapason des émotions musicales vécues en grandes brassée à la découverte éblouissante de la musique que tu nous proposais, ce texte a contribué à consolider, chez moi, et chez bien d’autres me semble t’ il, un ancrage de type identitaire, et évolutif, d’une puissance imaginaire et opératoire, peu commun dans l’espace d’une vie.
Pour le » chat « , es tu d’avis, Alan, de dire que l’un des traits de la force de ta démarche musicale et artistique, serait dans une articulation réussie d’une référence structurale forte aux musiques celtiques, aux valeurs combinées du meilleur des philosophies, des religions, et des utopies du Monde ? ( dans lequel syncrétisme, les valeurs du syncrétisme local, celto-chrétien, en Bretagne donc, seraient en bonne place ? )
Cette question est un peu » hard-du » pour un chat, mais c’est pour moi une question pour tenter de « comprendre » un peu plus pourquoi cette » révélation » identitaire, dont je parle plus haut, a été ( et est ) si forte!
» Mille soleils ont flamboyé, couleurs de nos idées. » Reflets
Peoc’h, ha yech’ed, Alan.
Avel.
Trugarez dit-te adarre.
j’ai trouvé utile de faire connaitre ce manifeste auquel, je pense, peu de gens ont eu accès, même s’il y a peut-être un (léger?) manque de modestie à le mettre en vitrine.
J’aime aussi les jeux de mots.
Bien sûr, dans ce chat, ce kazh (reporté à janvier), je serai heureux que le débat puisse passer par des niveaux de discussion différents.
On peut parler de syncrétisme, même s’il est villipendé par les responsables catholiques ou autres; leur raisonnement ne tient, bien sûr, pas; car, si j’avais suivi leur purisme, j’aurais rejeté totalement l’influence chrétienne pour devenir un pur druide. Je considère que cette pensée spirituelle et autre à la carte, qui est la nouvelle universalité, n’est pas à caricaturer, et ne doit pas être laissée dans le flou (ni laissée aux « fous »).
Peoc’h ha yec’hed dit,
alan