
Question de trac
Une question que je me pose face à ces métiers de scène où l’on se donne corps et âme à un public, c’est toujours concernant la gestion du trac.
Alors Alan, connaissez-vous ce trac, cette angoisse nouante avant d’entamer un concert? On n’en a pas l’impression tant vous semblez à l’aise…
Cette question du trac vient car j’admire toujours les artistes qui trouvent le courage nécessaire pour affronter cette terreur qui peut s’avérer destructrice, comme Brel qui vomissait avant chaque récital, mais qui a pourtant fait la carrière qu’on lui connaît, ce qui me semble tout-à-fait extraordinaire!
Connaissez-vous ce sentiment, ou la scène est-elle votre chez-vous?
Demat dit !
Justement je pense que certains artistes « se donnent » l’air d’être décontractés, un peu comme si cela allait réellement étouffer leurs angoisses…
Je ne crois pas que mon explication est vraiment la bonne, mais je ne sais pas trop comment l’expliquer, en fait…
Néanmoins cela dépend des personnes, il y en a qui arrivent à évacuer le stress après s’être « jetés dans la gueule du loup ».
A priori, une fois immergé dans des chansons qui nous suivent depuis des dizaines d’années, on doit se sentir vraiment bien, au coeur d’une intense complicité avec le public.
Enfin, j’attends la réponse de Alan avec impatience
Kenavo !
ça me demanderait un peu de temps pour en parler; attendons la fin du chantier nouvel album;
kenavo,
alan