quand Ikéa fait fur…
 
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quand Ikéa fait fureur !

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http://www.youtube.com/watch?v=uIQw24J4Ffo

 » Führer
substantif dérivé du verbe allemand führen et signifie en premier lieu « dirigeant », « leader », « guide ». Le mot est passé à la postérité au cours du XXe siècle pour avoir désigné la personne d’Adolf Hitler (voir discussion).

Il est ici traité essentiellement du contenu politique de ce terme en Allemagne au cours du Troisième Reich.

Avant la prise de pouvoir
À l’origine, le Führer était le chef de file du groupe parlementaire du parti, le véritable directeur politique du parti, et celui qui, en cas de victoire électorale, était le candidat naturel à la direction du nouveau gouvernement. Ce n’est pas obligatoirement le président ou le secrétaire général du parti, des fonctions essentiellement administratives.

Le terme et la thématique du « Guide » est présent de longue date dans la mouvance völkisch (nationaliste et populiste) et surtout nazie. Le Führerprinzip est omniprésent dans l’argumentaire nazi dès les années 1920. Selon Adolf Hitler, le Führerprinzip a d’abord été le moyen de marquer concrètement et d’inscrire dans les statuts du parti son anti-parlementarisme virulent[1]. Il aura pour conséquence de placer la propagande au-dessus de l’administration et par là d’imposer la prééminence de son directeur sur le parti[2].

Hitler est élu Führer du NSDAP dès sa création en 1921 au congrès de Salzbourg, après la fusion de plusieurs partis d’inspiration proche (nationalistes, racistes et populistes). Il en devient président quelques mois plus tard lors du renouvellement du comité directeur en se faisant attribuer les « pouvoirs dictatoriaux » pour la « direction administrative » du parti en sus de sa « direction politique », ce qui n’était pas spécialement dans la tradition allemande. Dans la pratique, la direction administrative sera confiée à des « suppléants auprès de la présidence du parti », Rudolf Hess, puis Martin Bormann.

En 1925, lors de la refondation légale du NSDAP après l’interdiction consécutive au putsch de la brasserie, Hitler est réélu président du parti (les mandats sont de trois ans, le président est élu par le Congrès sur proposition du comité directeur) et Oberstführer (guide suprême) du NSDAP et de la SA. Il est aussi le Führer de tout le mouvement national-socialiste, c’est-à-dire du parti dont il est déjà le président, des SA dont il est le commandant suprême, mais aussi de toutes les organisations rattachées au parti et autonomes administrativement (syndicats, mouvements de jeunes, des mères de familles et même des ligues féminines, etc.) Dans la pratique, il délègue à des lieutenants la direction de toutes ces organisations, se réservant la politique générale du mouvement.

Hitler devient l’objet d’un véritable culte de la personnalité dès les années 1925-1926. Il renforce son ascendant sur le parti grâce à ses premiers succès médiatiques, puis électoraux. Ses collaborateurs s’adressent à lui en disant Mein Führer, c’est-à-dire « Mon guide, mon chef ». Dans sa monumentale biographie, l’historien Ian Kershaw cite ainsi Luise Solmitz, une institutrice de Hambourg qui assista le 23 avril 1932 à un meeting électoral du NSDAP :

« Personne ne disait « Hitler », mais toujours simplement « le Führer ». « le Führer dit », « le Führer veut », et ce qu’il disait et voulait paraissait bel et bon. »[3]
Une affiche politique lors de l’Anschluss en 1938) proclame ainsi Ein Volk ein Reich ein Führer (« Un peuple, un « empire », un chef »).

Après 1933
Après la liquidation des partis politiques concurrents, puis le vote de la loi instituant l’unité du Parti et de l’État, Hitler, déjà chancelier fédéral (Reichskanzler) et Führer du parti devient de facto le führer de l’État et du peuple allemand.

En tant que chancelier, chef d’un cabinet de concentration nationale où les nazis seront toujours minoritaires, il se fait déléguer par le Reichstag des pouvoirs spéciaux renouvelables tous les quatre ans, et normalement à l’origine réservés au président de la République de Weimar par la constitution de 1919 qui restera toujours en vigueur, amendée dans le sens du national-socialisme, jusqu’en septembre 1945, date officielle de la dissolution du Reich par les autorités militaires alliées.

Par la Gleichschaltung, il transforme le Reich en un état unitaire (les Länder perdent leur statut d’états fédérés ; le gouvernement central y est représenté par un gouverneur (Statthalter)), mais décentralisé (larges pouvoirs des ministres-présidents). Les Gauleiter ne sont que les directeurs locaux du parti, chargés de surveiller l’administration du Land, mais en pratique, ils sont toujours, soit le Statthalter, soit le ministre-président local.

À la mort du président Hindenburg, Hitler assure les fonctions de chef de l’État après autorisation du Conseil des ministres, avec le modeste titre de Führer du Reich en détournant un article de la constitution de Weimar qui confie l’intérim présidentiel au chancelier après avoir refusé de se faire élire président du Reich « par déférence » envers Hindenburg. Après le référendum d’août 1934, où il obtient 89 % des voix, Hitler devient ainsi, en fait et en droit, le chef de l’Allemagne autant que le chef du gouvernement.

C’est le Führerstaat : Hitler concentre sur sa personne les fonctions toujours distinctes en théorie de chef du gouvernement, de l’État, du parti unique et de l’armée. À ce titre, il obtient même que les militaires lui prêtent un serment personnel à la manière des empereurs romains dont il s’est d’ailleurs ouvertement inspiré. Il était dans sa jeunesse un grand lecteur de l’historien Theodor Mommsen (référence?).

En pratique cependant, il délègue ses pouvoirs dictatoriaux « souverains » (car par délégation du peuple et de ses représentants : double suffrage direct et indirect) à des « commissaires » dans le cadre d’un département administratif, géographique ou d’une mission déterminée : c’est le Führerprinzip, système qui lui a été inspiré par son expérience militaire et la lecture du traité du constitutionnaliste Carl Schmitt sur la dictature (1922).

Les fonctions protocolaires et honorifiques du chef de l’État sont souvent dévolues à Hermann Göring, deuxième personnage de l’État en tant que président du Reichstag (et donc vice-président de la République) et à sa femme Emma, « Première Dame du Reich », Hitler n’étant pas marié, et celles du chancelier à Joseph Goebbels, vice-chancelier à partir de 1934 et à son épouse Madgalena.

Dictateur habile, Hitler s’arrange toujours pour qu’aucun de ses lieutenants ne soit en mesure de le supplanter sans s’associer avec d’autres chefs importants du parti, de la SS et de l’armée, et il entretient entre ceux-ci les haines, rivalités, surveillances et délations réciproques.

Enfin, il prend personnellement le portefeuille de la guerre en 1938 et obtient le pouvoir de se constituer une armée personnelle internationale en 1939 (la Waffen-SS) à l’intérieur même de la Wehrmacht (10% des effectifs de celle-ci en 1944).

Dès 1939, il abandonne le titre de chancelier (mais non les fonctions) et en 1941, avec le renouvellement quadriennal de ses pouvoirs, il se fait attribuer par le Reichstag les fonctions de « juge suprême » avec le droit de vie ou de mort sur les citoyens du Reich et la possibilité de légiférer par ordonnances secrètes (c’est-à-dire non promulguées, et donc non publiées – voir Ordre du Führer). Il a ainsi désormais les mains totalement libres juridiquement pour éliminer secrètement et massivement ses adversaires politiques, raciaux ou autres.

Juste avant son suicide, le 30 avril 1945, Hitler transfère ses pouvoirs présidentiels à l’amiral Karl Dönitz. Le maréchal du Reich Hermann Göring et son rival, le ministre de l’Intérieur, le général Heinrich Himmler, Reichsführer de la SS, sont destitués, exclus du parti et condamnés à mort sur ses ordres pour « haute trahison ». Ses pouvoirs de chancelier sont transmis au vice-chancelier Goebbels et la présidence du parti à Martin Bormann, jusqu’alors chef de la Chancellerie du parti. Après le suicide de Goebbels et la fuite de Bormann qui lui ont transféré également leurs pouvoirs respectifs, Dönitz prend le titre de président du Reich par interim, nomme un nouveau chancelier par intérim, et dissout le NSDAP qui n’a plus de raison d’être du fait de l’échec de sa mission historique (la revanche de l’Allemagne sur les pays de l’Entente de 1914-1918).

Le Guide dans d’autres pays
Le surnom de « Duce du Fascisme » qu’utilisaient les partisans de Benito Mussolini, président du Parti national fasciste, en est un équivalent en italien.
Le titre de « Caudillo » en espagnol a une consonance nettement plus militaire et même religieuse.
Le président mexicain Plutarco Elías Calles était qualifié de « Jefe Maximo » durant sa dictature de fait, le « Maximat ».
L’argentin Juan Peron préférait le surnom plus fasciste de « Conductor », repris par…
les dictateurs roumains, le fasciste Ion Antonescu, et le communiste Nicolae Ceauşescu sous la forme locale « Conducator ».
En Chine, Mao Zedong était également volontiers qualifié de « Grand Timonier »,
Staline de « dirigeant suprême » en URSS – bien que la propagande communiste fit aussi de lui « Le petit père des peuples »,
Fidel Castro se faisait appeler « Líder Maximo » à Cuba.
Nasser en Égypte et Saddam Hussein en Irak étaient surnommés « Raïs » (« chef », en Arabe)
Le colonel libyen Kadhafi est quant à lui qualifié de « Guide de la Révolution ». « 

http://www.youtube.com/watch?v=-HOiFq7wrSI&feature=related

« thanck you 1970 !!!! »

http://www.youtube.com/watch?v=tScwlWdpep8&feature=related

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Posté : 22/09/2008 6:52 pm
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http://www.dailymotion.com/related/x1t1vs_marcus-ehning-et-kuchengirl-nolte…

mam’zelle bulle

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Posté : 22/09/2008 8:18 pm
 alan
(@alan)
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Un sujet sur les pouvoirs dictatoriaux, pourquoi pas, mais on ne voit pas très bien sous quel angle vous le proposez.

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Posté : 23/09/2008 12:34 pm
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bonjour alan,

je vais tâcher d’aborder ce sujet de façon décontractée et détachée.
les chevaux sont joueurs, certains compétitifs.
ils sont une passion aux yeux de tous et de toutes, parfois le confident et/ou l’émerveillement des enfants et des grands, parfois ils suscitent beaucoup d’apréhensions tant ils sont imposants.
au travers des compétitions ils donnent beaucoup de spectacle, créent beaucoup de rêves et ainsi sont une tenue et un exemple, des savoirs et des ententes inter-peuples si l’on peut l’exprimer ainsi car on se demande ce qui se passe sous la selle et au bout des rênes lorsqu’on est novice.

d’une instruction stricte et très militaire en son époque, à un relâchement dans le civil actuel, le cheval se diversifit sur de multiples loisirs ou travaux, des courses au débardage encore existant, en passant par des loisirs amateurs ou professionnels (j’entends pro par un aspect lié au niveau=capacité des épreuves: mettons l’aspect « argent » de côté, c’est ce qui « pourrit », entre guillemets, vers le dopage des sports et l’ascendance exponentielle).
un point non négligeable actuellement car si le haut niveau va trop loin, c’est à la base de le retenir, sans imposer l’idée de « tirer les gens vers le bas ».

c’est un peu le rapport public-sportif qui relate beaucoup d’émotions que l’on retrouve. peut-être un peu comme dans un concert, si ce n’est que les dérives sont à reprendre par rapport aux chevaux, qu’elles soient internes ou externes car effectivement, on ne peut laisser faire n’importe quoi avec les chevaux (éthique, sport, libertés et tout ce que cela contient, puis la vision des enfants dans cette « arche de noé » qu’est la fédération française d’équitation multicolore au travers des individualités et des clubs, ou au travers des chevaux, des professionnels depuis l’élevage aux propriétaires et cavaliers ou sponsors, etc…)

vivre au rythme des chevaux c’est vivre avec le rythme de la terre, qui nous rappelle le pas lent des chevaux de traits d’antant et d’aujourd’hui encore, sous l’aspect de leurs rondeurs et leur calme dont on dirait qu’il est olympien. c’est aussi vivre la tonicité forte impulsive des concours qui demandent aux cavaliers la maîtrise de l’équilibre du cheval sur le parcours, et de faire en partit abstraction de cet engouement du public qui génère de fortes motivations chez les chevaux en surcroît de la normale. ceci demande du sang-froid (tout le monde n’en n’est pas pourvu mais ce qui est intéressant chez les chevaux et particulier, c’est qu’ils apprennent à se remettre en question sur les situations montées au présent et réanalysées ensuite, une introspection personnelle parfois aidée d’un oeil extérieur car les sensations et les visuels diffèrent. seule façon d’avancer de façon constructive et intelligente sportivement).

quand le fair-play n’est plus et que ça dépasse les bornes, ça arrive dans les « méthodes » (grr) germaniques et nordiques, enfin un peu partout à vrai dire, il est alors bon de rétablir le sens profond et sincère, initial, de ce qu’est partager ces moments magiques avec les chevaux. l’esprit des anciens maîtres n’aimaient pas ou n’appréciaient pas la compétition. tout était alors dans le regard du cheval quand ils en descendaient car cette magie (essentielle) continu comme elle précède le moment d’équitation. il y a ce qui appartient au faire valoir humain, ou ce qui est propre et privé à chacun… tellement de nuances et de différences à cela que l’on ne peut s’exprimer pour tous et toutes, même si on peut le faire découvrir et l’expliquer pour la compréhension et la raison d’être de ce sport où les hommes et les femmes sont égaux. la différence est chez les chevaux et la manière de les construire solides, joyeux, avec un regard porté devant.

la dérive actuelle du dressage étant de coincer en dessous de façon innommable, cf, image du rollkur sur l’autre sujet. le rollkur est ce qui a provoqué l’actuelle « horse révolution » exprimée par la haute école russe. je m’entends, parlons d’évolution, il y a un lien pour une part philosophique et sentimental qui se greffe sur ces aspects dont chacun est à même d’apprécier de sa perception personnelle, et ne perdons pas de vue qu’un cheval fait 500 ou 600 kilos, que même si des grandes personnes sont assez fines, rares qui plus est, pour les utiliser avec une cordelette, ce ne sont pas des enfants qui pourraient s’en sortir, rapport de force évident …
enfin ça n’empêche pas de découvrir ces tris éléments essentiels: jeux, sérieux, contrôle sur un plan affectif et technique, ce qui induit l’idée d’un certain respect et de moyens. ceci dit, ce n’est pas une situation d’extérieur et de sport non plus, mais regardez, c’est plutôt intéressant dans le sens où cela ne limite pas une étroite perspective par rapport à l’époque des tsars et des troïkas aux bouches sanguinolantes (remarque, les excès, on les retrouve dans le rodéo comme ailleurs aussi) :

http://www.youtube.com/watch?v=bx-z_SRRddA

ainsi, pour en revenir à ce mélange bizarre de présentation du sujet, mon avis personnel est de séparer ces idées politiques qui ne sont que des idées des hommes, de ce qu’ils s’en font d’un pouvoir d’apparence, séparer donc, disais-je, ceci du sport, et de rappeller ces liens célestes, océaniques et terrestres, qui relient nos imaginaires, nos réalités, et nos diversités actuelles quant à ce qui concerne l’approche du cheval, des chevaux, qui n’a rien de dictatorial en soi à la base, mais plus facteur de savoir vivre et savoir être ensemble ET individuellement.

évidemment les chevaux s’étendent a de l’équithérapie, le handisport, des randonnées et … la différence essentielle est qu’un cheval de concours ne correspond bien sûr pas à un débutant, ce serait l’emmener à l’accident.
http://www.youtube.com/watch?v=JqG4PNbmSfQ (des chevaux comme celui-ci par exemple, se montent avec une main +/- fine et solidité de jambes sans pour autant besoin de mettre de pression, histoire d’allant et d’expériences … disons que c’est un vivant plus vif et fort que certains autres et que chaque cheval a son langage, son expression corporelle, son mental)
ce qui explique pourquoi saumur est « l’école d’équitation » par excellence d’une certaine référence, qui après se voit sous diverses formes jusque dans l’individualité civile. les temps ont changé depuis l’esprit royal du jockey-club à la démocratisation actuelle, bien que, quoi que.

voilà une approche et quelques présentations du sujet qui ouvre des perspectives et peut-être offre un autre regard sur tout ce que comprennent ces liens entre les chevaux et notre perception personnelle (et vis à vis de quelques particularités indescriptibles), ce qui est largement différent de l’idée dictatoriale, et différent aussi que de se faire marcher sur les pieds.

http://www.dailymotion.com/related/x2t7ex_baloubet-du-rouet-et-rodrigo-pess…

http://www.youtube.com/watch?v=8QHS7I3At6E

pas toujours si simple l’équitation, ni de faire découvrir sous un ou d’autres angles ses divers ressorts tant ils sont variables. le comportemental y est fortement associé sur les réactions-remédiations (refus, sorties de tournants et moultes petites choses qui font les grandes quand ça marche). principalement, ne pas confondre vitesse et précipitation c’est « être avec ». ce qui explique la différence entre ceux qui préparent vite ou ceux qui préparent doucement : pressé ou patient c’est quand même bien différent dans cet équilibre fragile, solide, naturel, plein de motivations, d’humeurs parfois, à rappeller ce titre :
« terre des vivants » et notemment en terme de longévité, qualité et justesse entre autres choses.

http://www.dailymotion.com/related/x622hr_chio-aachen-gp-rolex-2008-steve-g…
désolé pour le nombre de supports vidéos, tout ceci dépend d’entraînements et progressions de diverses qualités bien sûr, selon les axes et spécialités.

bonne journée, alan, http://www.youtube.com/watch?v=toynd7yYmyI&feature=related

(ps : ne pas tout associer entre les vidéos et le couplet sur le premier post svp, et inversement des vidéos et musiques, c’est un peu du rubrique à brac en quelque sorte, avec des points différents, simplement)

il y a la chanson « j’ai deux amours »,
il y a l’air « j’ai deux humours » http://www.youtube.com/watch?v=y-9j9Io-gTk
mais on sait bien que l’air ne fait pas la chanson, ou plutôt le contraire, la chanson ne fait pas l’air …

sur les parcours hippiques on retrouve l’esprit du premier mathématicien. Thalès ne s’est pas beaucoup occupé des nombres, il s’est surtout intéressé aux figures géométriques, cercles, droites, triangles. … (tout vient de l’eau, dit-il.)

http://www.youtube.com/watch?v=ChPFjKJpFGg&feature=related

cette dernière vidéo est particulièrement intéressante. en bon harpiste que vous êtes vous n’y serez pas insensible je pense, car ce n’est pas que du travail et de la complicité, c’est …

voyez la différence. plus coincé, ça existe? : http://www.youtube.com/watch?v=TwKM1-oruY8 une des raisons pour laquelle je pose une objection vive à cette honte qui n’est en rien de l’équitation, mais qui ressemble à de l’emprise tout simplement, comme une équitation baillonnée, ce qui manque cruellement de plein de choses. cela ne rend pas d’aura, juste de la brisure; surtout constante et insistante, qui plus est n’importe comment, et qui entraîne ceci, l’effet « tracteur » en résultante (cheval express), et donc des émotions bien moins agréables car rattachées aux frayeurs, chutes, pertes de contrôle, etc… le genre de truc qui finit mal quoi.

d’où l’intérêt de monter dans le calme et de savoir gérer l’équitation, enfin le cheval qui est sous la selle (encore que ce ne soit pas singulier puisque de multiples spécialités existent et que bien souvent les cavaliers et cavalières ont plusieurs chevaux à l’entraînement dans les écuries) :

http://www.youtube.com/watch?v=ka0ys3vD0Rs&feature=related

http://www.youtube.com/watch?v=O0hyOmMULYA&NR=1

là, ce ne sont pas des dérives de bateaux, mais des dérives de dressage, ça manque d’aisance et ratatine.

http://www.youtube.com/watch?v=rZtDPkGyZco&feature=related

à l’inverse, de cruelles obscessions aboutissent à des horreurs et accidents (et il n’y a pas de frontières à cette agressivité permanente) :

http://www.youtube.com/watch?v=dPJVjd7k9uQ&NR=1

so? http://www.youtube.com/watch?v=hPjhgD3o7Tg&feature=related

car il faut savoir que même les « professionnels », ont besoin d’aide
http://www.youtube.com/watch?v=pJ8MYtxtu30&feature=related

http://www.youtube.com/watch?v=I2yfP1RsvV0&feature=related

en ces moments où dopages et méthodes sont traquées causes d’excès (horse abuse / people abuse)

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Posté : 23/09/2008 4:18 pm
 alan
(@alan)
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on peut parler de tout ici; mais si vous avez envie de communiquer, mieux vaudrait un sujet par sujet ; dans le même, vous passez de Ikea à l’équitation en passant par Hitler, ça me parait beaucoup, non? Merci quand même pour votre apport.

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Posté : 25/09/2008 8:37 pm
(@import)
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Churchill disait des chevaux qu’ils sont dangereux devant, dangereux derrière, et inconfortables au milieu.

ils sont comme des guerriers à maîtriser ou comme des animaux paisibles, des partenaires ou des amours à observer jouer. ils ne sont en tout cas pas fait pour être ni en cage ni en totale liberté dans notre civilisation dite « moderne ».

alors on les utilise en sport comme en d’autres domaines, même si ce n’est pas la seule manière de les « garder » et d’initier l’équitation ce qui se rapporte essentiellement à l’éducation et donner le goût de vivre, de voir loin et grand dans le temps et dans l’espace.

cependant les besoins sont importants et la société actuelle consomme en dépit du bon sens, s’américanise ou se germanise, gâche un palace et se bêtifit de diplômes pendant qu’on travaille dans des mouchoirs de poches alors que c’est immense. (mes excuses si je n’y vais pas de main morte)

d’autre part il y a des instructeurs hitlériens, des chevaux hitlériens, des consommateurs hitlériens. et leurs contraires évidemment, car ici on nous évince pour l’absolue grandeur de la france, qui est mauvaise joueuse et aussi orgueilleuse qu’une Paris Hilton pendant que les campagnes meurent en silence.

don’t ask « who », but « where », « how » (et baisser d’un ton, lol) : http://www.youtube.com/watch?v=PF1szv52etI&NR=1

à moins que ce soit nous qui les évincions. http://www.youtube.com/watch?v=y_06vDOHF-I&feature=related
auquel cas on peut clore le sujet car il est vrai que les discussions médias sont parfois fourre tout, ce serait maladroit, anti-dote de « l’étoile noire ».

bonne soirée http://www.youtube.com/watch?v=IuyPH9v8CVc

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Posté : 25/09/2008 10:00 pm

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