musiciens des années 70

pour ce qui est de Dan Ar Braz, je suppose que tu as entendu parlé de lui depuis; on a encore joué ensemble plusieurs fois.
pour Gabriel Yacoub, peut-être moins, mais tu peux trouver ses disques récents; on s’est retrouvé encore sur un même plateau au cours de la dernière tournée.
pour Michel Santangelli, il joue parfois avec une amie Nelly Aupy, il a joué avec Higelin.
Jackie Thomas (Blette) continue dans diverses formations.
René Werneer est prof de musique.
Gilles Tynaire compose des musiques de film et est un membre directif de la Sacem et l’autre clavier Pascal Stive est aussi un membre actif de la Sacem est compose notamment des musiques de pub.

@+lan

Bonjour Alan et tout le monde, cela fait longtemps que je ne suis pas passé par ici… Mais je suis ravi de revenir.

Alan – je me permets de te dire « tu » mais uniquement sur le papier -, une question subsidiaire par rapport à ce sujet, je voulais savoir si tu aimerais rejouer avec ces musiciens, ou avec d’autres que tu as eu durant la seconde moitié de la décennie 70 comme Chris Hayward (que j’adore et dont j’ai trouvé le nom sur un disque récent du groupe corse I Muvrini).  

Kenavo,

Marco

Bonjour,

comme je l’ai dit plus haut, on a eu plusieurs fois l’occasion de rejouer ensemble avec Dan, parfois aussi avec Gabriel.
Mes disques et mes tournées sont comme un village où chaque maison a été un chantier particulier, et les maisons doivent être très différentes. Ce qui ne m’empêche pas de faire à nouveau appel à certains (exemple Guillaume Saint James pour Again et pour la tournée Explore).

A galon,
alan

René Werneer est en effet professeur de musique, il fut mon enseignant pendant mon année de 3e. Là, je suis en terminale, et sa classe est située juste à côté de la mienne. L’écouter reste fabuleux.

Cher Musician,

Sans indiscrètion, vous êtes (et René est) où?
Si vous préférez répondre dans messages persos, pas de problème.

Meumez tra evidon Alan,

Mar mé ‘meus goet musik ha mar mé ‘meus nim laket ‘ba ‘m brezoneg ‘ndrès oa péguir mé ‘meus klè’et ‘neoc’h ho daoù. Ha evel ‘meus skriwet ha lâret deoc’h dija, n’am-eus ket jamez klè’et unnak é c’hoari violin kement braw ha René Weerner raè, da ziboa añw oa ganeoc’h.

Mé vi’ laouen da gaout moien da skriw da René Weerner evel mé ‘ra deoc’h hiziw. Matrez’ vè moien da gaout notennou an « ‘Morrison’s Reel » lar mé c’hoari dija gant am biniou braz ? 

Uéch all

le hasard est amusant, car par quelqu’un d’autre qui m’avait contacté sur myspace, j’ai très récemment repris contact avec René.

a galon,
alan

Fentus eo: kejet m eus endro gant René ar sizhun tremenet, ar wech kentañ diboe … tregont vloaz.

Ya, ur bersonelezh greñv ‘zo gantañ, er muzik evel mod all.
‘N oa ket ur strollad-sonerezh memestra ar skipailh em oa savet gant ar sonerien evel René.
Ma muzik ‘oa sonet gante ha dindan ma renerezh. Larout ‘ran se, peogwir ne oa ket anat d’an dud ma n’oa (n’eo) ket laret.
Dao eo din anzav, pa komzan eus personelezhioù, n’oa ket aes kement-se bemdeiz ‘vidon chom ar rener hag ar saver-sonerezh, ret ‘oa din stourm a-enep ma lentegezh ha me oa boazet nemet da ren sonerien bagad, ha n’oa ket memestra. Ne oa mennozh ebet breizhek gante, da skouer.

Me m’eus testenn-muzik Ian Morrison reel ‘vit ar binioù-bras; se m’oa kinniget da heuiliañ a-dost gant René ha Dan; o lezel ‘ne c’hoariñ pennadoù vihan « dre imor ».

Keno,
alan