langue bretonne sur google traduction
En fait , je n’ai jamais appris le platt en sens prof et cours , je l’ai juste appris par « imprégnation naturelle » donc ni grammaire, ni orthographe.., ce n’est qu’une question d’oreille pour moi.
Ce que je sais sur le platt, c’est que sa grammaire est simplifié par rapport à l’allemand ! qui a la réputation d’avoir une grammaire très compliquée avec ces déclinaisons mais très codifié aussi.
Ces histoires de mutations adoucissantes c’est la première fois que j’en entends parler pourtant j’ai appris l’allemand et l’anglais (un peu). !!
Disons au passage que le brittonique (breton gallois cornique) a plus de mutations que le gaélique (2 pour l’irlandais, 1 seule pour l’écossais). En écossais, c’est assez simple, ça mute ou ça ne mute pas, mais pas de distinction entre douces, spirantes, etc. Par contre, il y a des déclinaisons…on peut pas tt avoir !
Tu n as pas inverse ta phrase?
Car il y a peu de declinaisons mais pas mal de mutations me semble t il. Et le seul lien entre ces deux particularites grammaticales est le fait que les mutations sont nees a peu pres qd la plupart des declinaisons ont disparues en celtique. Qui plus est en Breton. A ma connaissance, rien de vraiment proche ailleurs. On m a dit qq chose approchant en Corse. Est cevrai?
J’ai dû mal m’exprimer : je voulais dire qu’au niveau des mutations, il n’y a pas comme en breton certains mots qui ne provoquent que des mutations adoucissantes, d’autres renforçantes, d’autres spirantes, ou encore mixtes ; en écossais, s’il y a mutation, toutes les lettres la subissent, on ne fait pas de distinction entre adoucissante (b/bh, m/mh) ou spirante (t/th, p/f)etc. Globalement, ce sont les mêmes lettres qu’en breton qui mutent. Par contre, au niveau déclinaison, il y a 4 cas : nominatif, vocatif, datif, génitif. Ca fait faire une drôle de gymnastique.
Et elles mutent generalement comme en Breton: B en V ou Bh par exemple pour un feminin.
La mutation consonantique est une des specificites panceltiques, contrairement aux declinaisons.
Effectivement, les règles sont souvent les mêmes qu’en breton. On marque la mutation par un h qui suit la consonne
b/bh [v] – m/mh [v] – p/ph [f] – t/th [h] – s/sh [h]. le f/fh est muet. d/dh [g] – c/ch [c’h] etc.
mon dieu, je suis dépassée par tant de sciences et de connaissances !!
en plus des adoucissantes , il y a aussi des spirantes et des renforçantes …..
pour participer quand même je vous mets un extrait wikipédia concernant les déclinaisons allemandes
« L’allemand, au contraire de certaines autres langues indo-européennes, a conservé de nombreux éléments du caractère flexionnel de l’indo-européen commun. Il a conservé quatre des huit cas du système casuel de l’indo-européen (nominatif, génitif, datif, accusatif) et deux de ses trois nombres (singulier et pluriel). Il en a gardé les trois genres masculin, féminin et neutre. Nombre d’autres langues germaniques, comme l’anglais ou le néerlandais, ou d’autres langues indo-européennes en général, comme le français ou le bulgare, ont abandonné en grande partie le système casuel qui reste figé dans la morphologie des pronoms. »
j ‘avoue ne pas tout comprendre dans cette phrase !
Petite ritournelle à apprendre en allemand, un peu l’équivalent de notre « mais où est donc or ni car «
aus bei mit nach seit von zu appelle le datif
durch fur gegen ohne um wider appelle l’accusatif
avec ça vous êtes servi car le génitif est très peu utilisé dans la langue parlée, plus réservé à l’écrit.
Mais,.desole,.parler de declinaisons ici nous amene en Irlande Ecosse Man et dans l antiquite