langue bretonne sur google traduction
Bonjour Alan,
Je suis passionné de langues étrangères , et j’utilise volontiers le traducteur google qui certes n’est pas parfait, mais qui reste efficace pour des phrases non complexes. Je l’utilise pour le grec, l’allemand, l’anglais , l’italien or je vois qu’il n’existe pas pour la langue bretonne alors qu’il existe pour le gallois moderne; ça serait intéressant/utile pour tous ceux, comme moi, qui désirent apprendre la langue bretonne et avec un impact sur la terre entière, tous les amoureux de la culture celtique en somme.Je me suis lancé dans le gaélique écossais et mise à part les cours ( de base ) de la BBC, rien sur l’internet, et pas de google traduction (itou pour le gaélique d’Irlande).Que peut-on faire?
Amitiés . Gwénolé ‘james’ du Berry (Guénolé eneug FB)
Bonne idée en effet… Bon courage pour le gaélique écossais, j’ai eu la chance de l’apprendre il y a une trentaine d’années, et c’est une langue qui m’a apporté bc de plaisir. Il faudrait que je m’y remette, car c’est plus vite fait de l’oublier que de l’apprendre.
un excellent article a ce sujet pour mieux comprendre comment les traducteur google fonctionne et comment l’aider : http://www.culture-bretagne.net/google-traduction-breton/
emichañs e c’hello al lec’hienn-mañ ho sikour*:
http://www.fr.opab-oplb.org/42-traducteur-automatique.htm
*à vous traduire grace au site d’Ofis Publik Ar Brezhoneg!
Kenavo ar c’hentañ lennet
Sonj ‘ran eo se war ar stern dija. Bepred ar gudenn amzer vak ha n’eo ket aes kavout…
Penser je fais qu’est cela sur l’établi déjà. Toujours la problème temps libre et n’est pas facile trouver…
je dois rappeler que Google, ou plutôt Gogle, signifie en Breton « (à la) louche ». Pas nécessaire de traduire « Google »….
Par habitude, tout traducteur en ligne qq soit la langue, est source d’erreur, ignorant des idiomatiques,à mon avis seul source est apprendre la langue mais c’est dur !!!!
Gwell
Bien d’accord, mais tout de même merci à celleux qui mettent en place ce genre de logiciels, ça peut aider et.. donner envie d’apprendre la langue en question.
Et apprendre une langue c’est aussi (surtout?) apprendre le mode de pensée de la culture qui l’utilise- et réciproquement.
Oui bien sûr , je suis entièrement en accord . C’était une réflexion quand il m’arrive d’utiliser ces logiciels , je suis bien heureuse qu’ils existent
Gwell
C’est mieux que rien, c’est un bon début, et ça peut donner envie d’aller plus loin…mais jamais une machine ne transmettra le « génie » de la langue.
Bien d’accord avec vous, évidemment.
Pour les traductions du breton , j’ai trouvé ce site « Glosbe – le dictionnaire multilingue en ligne » donc il n’y a pas que le breton , je ne sais pas ce que cela vaut
je suis tombée dessus en cherchant Vretoned , j’avais remarqué ce terme dans certaines chansons bretonnes et sa similitude avec Bretoned
je pensais que cà voulait dire breton dans une des variantes (tregor, leon, vannetais….) où alors une histoire de prononciation , car en platt, on prononce quelquefois v alors qu’en vrai allemand c’est « b » , ainsi garçon en allemand peut se dire bub, en platt cela se dit bauv (phonétique approximative)
mais c’est plus compliqué que ça , des histoires de mutation liées au genre!! ça semble d’ailleurs faire polémique!!
Francine (je n’ai pas trouvé de traduction bretonne )!!
par contre pour Françoise, il y a pléthore Frañseza, Soazig, Soaz !!!
Les mutations c’est typique aux langues celtiques. L’initiale change dans certaines conditions. Par ex on dit « ar Breton » mais « ar Vretoned » (mutation sourde/sonore). C’est assez déconcertant quand on commence le breton.
Effectivement !! c’est déconcertant !! j’avais vu ça dans un titre du cd kan bale de soutien ….. Frankiz ar vretoned donc « liberté aux bretons » ?
C’est déconcertant certes mais cela n’est pas une rareté dans les langues indo-européennes. Les déclinaisons latines sont du même genre. Dans les langues germaniques, on a aussi ce genre de situation, y compris en anglais où les fameux verbes dits irréguliers empoisonnent la vie des apprenants ainsi que nombre de formes atténuantes (I ‘ve pour I have).
Ce qui m’a le plus surpris dans les langues celtiques, c’est que la codification grammaticale est moins forte que dans les langues devenues plus dominatrices donc plus stéréotypées. Il y a encore une liberté de manoeuvre, selon les divers territoires, selon les idées à exprimer…
Un de mes profs de breton m’avait fait comprendre ce genre de chose avec une seule expression qui se traduit de deux manières : sur la mer.
War vor : sur la mer, sens général avec mutation adoucissante après la préposition war.
War ar mor : en gardant l’article qui désigne « la » mer, celle qu’on a en face de soi.
Ce qui n’empêche pas de trouver des « war mor » dans certains écrits.
Et dans le Platt, pas ce genre de chose ?
Yann-Bêr