« alan »« alan »
à la fin du morceau, je joue en harmos au lieu d’être en unisson.
Alan,
Cela me rassure car c’est bien ce que j’avais entendu et que j’exprimais maladroitement en employant le terme de fioritures, (je ne possède pas le vocabulaire musical tout à fait approprié)
Jean-Luc,
Merci d’avoir pris le temps pour ces précisions et explications que je vais relire plus longuement et avec intérêt.
Gwell
« Loarwenn »« Loarwenn »
La personne en question m’avait écris « on peut noter le léger sursaut du violoniste au moment où la flûte grimpe dans les aigus à la fin »…
La personne aurait mieux fait d’écouter la musique plutôt que regarder la gestuelle de René Werner, cela ne peut pas être un argument sur la justesse du morceau joué d’autant que sur scène les musiciens ne jouent jamais tout à fait de la même manière à chaque concert, ils se permettent des impros, des digressions par rapport à la mélodie de base et se surprendre mutuellement pour leur plaisir et le nôtre, nous les spectateurs, une bonne raison et l’intérêt d’assister au concert, il me semble.
A galon
Gwell
Welcome back, Alan.
C’est difficile, n’est-ce pas Gwell, de mettre en mots ce qu’on entend et sent quand on n’a pas le vocabulaire? 🙂
C’est tout l’intérêt des concerts: sur scène, les musiciens/chanteurs peuvent se permettre ‘autre chose’… et c’est un peu ce que nous attendons, nous public, non?
(appel du pied pour Alan: foncez, siouplé 🙂 )
Intéressant aussi: apparemment les ‘retours’ permettent plus de variations qu’autrefois.
Ce qui ramène à ma question: qu’entendez vous *vraiment*, les musiciens sur scène, qu’entends tu dans ton oreillette, Alan?
« elihah »« elihah »
C’est difficile, n’est-ce pas Gwell, de mettre en mots ce qu’on entend et sent quand on n’a pas le vocabulaire? 🙂
Oui exact et c’est assez douloureux
Gwell
je reviendrai sur ce sujet « ce que j’entends ».
Il est vrai que c’est rarement simple, jamais comme écouter un concert; ça ressemble à ce qu’entend le public dans les pires conditions et le plus mal placé. Ceci avec d’énormes progrès techniques et de très bons ingés-sons. Je serai en …retraite, quand ça sera tt à fait au point!
« alan »« alan »
Je serai en …retraite, quand ça sera tt à fait au point!
La technique et la technologie évoluent plus vite que cela 
La retraite ?
C’est quoi cet oiseau-là?
😉
Pour moi en tous les cas, c’est une cible mouvante… Pour Alan, clairement, c’est inatteignable.
🙂
Futur·e·s retraité·e·s de tous pays, unissez-vous !
En tout cas merci Alan de prendre le temps, un jour ou l’autre, d’essayer de nous expliquer tout ça.
Pardon de rajouter un post.
Parcourant le télérama qui sort ce jour, je tombe sur un article qui parle de son, ça me fait penser que je voulais ici évoquer la compression de la dynamique: l’encart à ce sujet , sous le titre ‘ils ont ramolli la musique’ ajoute, par la voix de C.Hugonnet; que « Cette tendance est un vrai fléau.Elle fatigue l’oreille, la stimulant en permanence, et pousse insensiblement les gens à parler plus fort, par effet miroir ».
Je me plains souvent des enfants qui ne savent pas baisser le volume de leur voix, y voyant là un des effets de l’éducation familiale du moment (en général soit du Dolto mal digéré soit du laxisme soit les deux, soit encore le besoin chez les gens de prendre de l’espace -dont sonore- et transmis à leur progéniture), mais peut-être que ceci y rajoute, en effet, puisque nous baignons dans un univers d’images certes mais aussi de sons qui ne font pas toujours sens, je trouve.
A noter que la plupart des familles que je côtoie pour le boulot ont majoritairement bcp de difficulté à apprivoiser le silence (verbal, sonore… tout ce qui oblige à un travail intérieur quoi..)