Breaking bad c’est ‘Le chimiste’ chez toi, c’est amerlocain, Homeland itou (et c’est repris d’une série Israélienne) et TBBT c’est une sitcom US aussi.
Je prends assez souvent les trucs sur le net, en chargement ou sur les chaînes UK, pour les avoir plus vite et en VO, mais quant à savoir si nous avons plus d’arrivées ici que chez toi, aucune idée.
Mais jette toi sur SherlockBBC, ça vaut la peine.
Je me demande si les séries ne sont pas désormais plus inventives que les films ciné.. j’y vais quasi jamais d’ailleurs…
Connais aps ce dont tu parles (tu vois que je ne suis pas sérievore) sorry.
Bon on va peut-être arrêter le HS ….
OK Je vais jeter un oeil sur Sherlock ,
T’as raison on est pas mal HS … 
Oui… 
Donc pour passer à autre chose…
Très bon !
Tiens j’ai trouvé ça : 
Ooohh… mais c’est Alan bien couvert parce qu’il joue chez vous? C’est ça? 
chut ! Il est venu incognito … 
Après la harpe en hiver , la harpe en été : 
Oh mais lol… et comme il se la joue, lui (si j’ose dire !), enfin, son attitude 🙂
On y va pour une autre ?
Elle s’est échappée du Louvre : 
Vu MP, répondu.
Explications du sourire de Mona:
« Je voulais pas, c’est pas de ma faute, on m’oblige, sauvez moi! »
ou bien
« malgré mon air de pas y toucher, z’allez être bluffé·e·s par ma technique… »
J’irais pour la deuxième option ,
Parlant de technique , comment transporter sa harpe en toutes occasions …
Ha mais il vaudrait mieux une harpe volante… j’ai déjà une option sérieuse sur les tapis volants, alors soyons follezzzz…
Et c’est possible, la preuve: cette sirène en plein déplacement:
Sinon je viens de tomber sur ça, que je ne pense pas pouvoir mettre sur le fil ‘Harpes du monde’ de Harpo, parce que je ne saisis pas pourquoi ça se nomme harpe…de verre certes mais harpe?
Je vous retranscris un truc juste lu là, tiens, vous connaissez tou·te·s l’auteur mais pas forcément ce texte… ça m’a mis des étoiles (vertes) dans les yeux) (juste pour celleux qui veulent lire, alors sous spoiler pour pas embêter les autres):
Spoiler : Spoiler
Dans les temps anciens, on n’embellissait point encore les arbres à coups de ciseaux, et la mode n’était pas de semer le gazon ni de sabler les allées.
Les branches poussaient comme elles l’entendaient; dieu seul se chargeait de modérer les ronces et de ménager les sentiers.
La forêt que S. rencontra était un immense nid de verdure, des feuilles et encore des feuilles, des charmilles impénétrables coupées par de majestueuses avenues.
La mousse, ivre de rosée, s’y livrait à une débauche de croissance; les églantiers, allongeant leurs bras flexibles, se cherchaient dans les clairières pour exécuter des danses folles autour des grands arbres; les grands arbres eux-mêmes, tout en restant calmes et sereins, tordaient leur pied dans l’ombre et montaient en tumulte baiser les rayons d’été.
L’herbe verte croissait au hasard, sur les branches comme sur le sol; la feuille embrassait le bois, tandis que, dans leur hâte de s’épanouir, pâquerettes et myosotis, se trompant parfois, fleurissaient sur les vieux troncs abattus.
Et toutes ces branches, toutes ces herbes, toutes ces fleurs chantaient; toutes se mêlaient, se pressaient, pour babiller plus à l’aise, pour se dire tout bas les mystérieuses amours des corolles. Un souffle de vie courait au fond des taillis ténébreux, donnant une voix à chaque brin de mousse dans les ineffables concerts de l’aurore et du crépuscule.
C’était la fête immense du feuillage.
les bêtes à bon dieu, les scarabées, les libellules les papillons, tous beaux amoureux des haies fleuries, se donnaient rendez-vous aux quatre coins du bois. Ils y avaient établi leur petite république; les sentiers étaient leurs sentiers; les ruisseaux, leurs ruisseaux, la forêt, leur forêt.
Ils se logeaient commodément au pied des arbres, sur les branches basses, dans les feuilles sèches, vivaient là comme chez eux, tranquillement et par droit de conquête. Ils avaient d’ailleurs, en bonnes gens, abandonné les hautes branches aux fauvettes et aux rossignols.
La forêt qui chantait déjà par ses branches; par ses feuilles, chantait encore par ses insectes et par ses oiseaux.
Edit: flûte qu’elle andouille j’avais oublié de préciser:Zola, « Simplice » in ‘Contes à Ninon »
Qu’est-ce que c’est la harpe-sirène , une sculpture sur bois ?
Continuons dans la même veine , La harpe et l’art :
1. Pablo Neruda 2. Harpe qui fond de jalousie (publicité) 3. Delphine Coindet (Art moderne) 4. Même les nains de jardins qui s’en mêlent …
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Bonne idée Luce.
La Harpe dans l’art pourrait faire l’objet d’un fil aussi. Pourquoi pas ?
Yann-Bêr
HARPAR :
1 Tour Wallpaper
2 la harpiste de Jacques Billon, sculpteur de metal ( Loire-Atlantique)