New Album 2015
Oui Stephan, j’ai le sentiment que tout n’est pas disponible au grand public certains docs réservés aux professionnels, j’ajoute que j’ai cherché aussi sur INA-Altantique OUEST , Bretagne .
gwell
J’ai passé une partie du w-end sur le site de l’INA, sans y trouver de récentes mises en ligne. Les émissions vues dans Bali-Breizh sont introuvables ou alors je n’ai pas indiqué les bons mots-clé, pourtant j’en ai essayé… Ils ont peut-être ouvert plus l’offre aux professionnels, comme dit Gwell. Mais à l’époque du film de P. Signolet, nous avions eu un accès pro.
Quant au nouveau système de VOD, le premier mois est gratuit (puis 2,99 par mois, honnête) mais il faut quand même sortir la CB pour s’inscrire. Le principe ne me plaît pas vraiment, surtout sans savoir si on pourra visionner d’autres docs.
Yann-Bêr
Je suis abonnée à L’INA, disons j’ai un compte, j’ai déjà acheté des docs, et j’ai vu cette proposition INA Premium, intéressante, tentant, elle donne accès à des tas de séries, documentaires, programmes ( 20 0000) en accès illimité mais j’hésite car je suis pas sûre d’y trouver une réponse à mes attentes … L’offre est peut-être trop généraliste ….? Enfin l’essai gratuit pour un mois j’ai confiance
gwell
merci gwell pour le lien vers bali-breizh, interessant même si je n’ai pas compris grand chose à part les ya qui ponctuent les dialogues et qui me rappellent le platt!!
en tous cas, tout le monde s’amuse,
et la chemise bleue à volant, c’était la mode de l’époque, j’ose pas dire ce que j’ai cru comprendre du dialogue d’alan à ce moment là!!!
pour Elihah, dans le bonus alan cite plein de fois macca mais je ne sais pas à propos de quoi!! mystère
francine
Je crains d’avoir terminé une phrase par MAT (bien) et pas pu m’empêcher le tic d’ajouter en français QUOI!…
Le tic d’ajouter , de ponctuer ses phrases par « quoi » , ce « tic » me semble commun aux bretonnants de naissance , je ne me trompe peut-être, mais je l’ai souvent remarqué et noté , cela me rappelait mon oncle bigouden ( et beaucoup en milieu bretonnant) qui s’exprimait en français ( tout en connaissant le breton) et faisait la m^m chose il rajoutait « hein » . Ce qui donnait « quoi hein »
Façon de laisser sa pensée en suspens, ouverte à la réflexion … ? Moyen d’appuyer ses dires car sentiment de ne pas être compris ?
Moi j’aime bien ce « tic »
gwell
Exact. J’ai même vu quoi écrit sous la forme « kwa » dans des dialogues.
Autre interview sur :
http://www.ar-gedour-mag.com/archive/2015/10/09/alan-stivell-parle-de-son-a…
Et une autre prévue en directe sur le site de RCF-Limousin mercredi prochain à 11h00 présentée par L. Bourdelas.
Yann-Bêr
Oui, fulgurance , Avel, fulgurés nous sommes ..
J’ajouterai joli texte poétique que j’ai tg considéré comme un bijou de sonorité (comme je l’ai déjà dit pour raok’ mont d’ar skol)
Emaoc’h-c’hwi ennon
E don ma c’halon
Merc’h ha vamm hi tiwvronn
Daou ibil plac’h yaouank
C’Hoant ‘m befe kano
Frondoù barados
O froumal em c’horf
O flouro ma ene
Pa lakan ma fenn
War ho skoaz balafenn
N’eus ket pos, n’eus ket ger,
N’eus ket ros ken tener
N’eus ket yezh’, n’eus ket mouezh
Anavet gant un den
Memes ga’r musik
Lared ne c’hallan
Tridoù ar galon
Pa lakan ma fenn
War ho skoaz balafenn
Ma c’harantez din-me
War eeun d’am c’halon e teu ar gerioù-sen ken kaer kaset en avel, ces mots-là, si beaux, que le vent a envoyé à travers l’éther, me touchent profondément. Et c’est vrai des autres témoignages reçus, même s’il faut saluer la qualité d’écriture d’Avel qui rejoint celle d’un Bruno Geneste, pour n’en citer qu’un.
ha trugarez da gWell o tibab ar pozioù-se(n).
Alan Stivell, Amzer
Cet album livret, lorsqu’on l’a entre les mains,
on le feuillette du bout des doigts,
on le lit du bout des yeux,
on l’écoute du bout des oreilles,
tellement tout y est délicat, fragile, éphémère
( telle la transparence de cette bulle recouverte de fine dentelle sur la couverture de l’album)
Mais ces délicatesse, fragilité, « éphémérité »,
sont sources de sérénité, de sagesse ,
nous donnent force et confiance
La voix, juste délicatement posée,
effleurant les notes émises par les harpes,
nous convie à pénétrer tout doucement au pays des songes,
où tout est légèreté,
flottement,
émerveillement,
Une autre voix nous interpelle, s’emmêle à celle d’Alan,
Silence,
On retient sa respiration pour ne pas perdre la moindre miette de musique,
le moindre souffle,
le moindre bruissement de la voix,
la moindre vibration,
Chuchotement,
Amzer ou la fraîcheur hypnotique…
Laurence, totalement conquise…
M’faites envie avec ce livret, grmbl.
Et toujours pas pu acheter le cd normal. Le destin est railleur, comme dit Cyrano. Mais je l’aurai.