beaucoup mieux que la cornemuse électronique ou la bombarde en folie, j’aime cet instrument qu’il maîtrise admirablement : sa voix. (et la harpe aussi evel just)
Je tenais à conclure sur du positif avant d’aller dormir.
Noz vat
Noz vat deoc’h holl,
alan
Bonjour, je suis nouveau sur ce forum et certaines réflexions sur « Stivell à Dublin » me paraissent assez limites.
Les chansons de cet album ne sont pas limites justement et l aspect musical , Stivell et le groupe sont plutôt en place.
On ne doit pas avoir les mêmes oreilles. J’ aime beaucoup le texte de Délivrance, plus courageux que certains qui mettent un bulletin à gauche en étant tous les jours à droite.
Plus loin , Tri Martolod symbolise Alan Stivell???????? Pour moi, plus d un morceau le symbolise..
Chacun son opinion finalement…..
Pour Fulup, bonjour d’abord.
Je me suis exprime de maniere incorrecte par rapport a l’album « Stivell a Dublin ». A propos des chansons, j’avais en tete la qualite de l’enregistrement , pas les paroles ni la musique. Par contre ce que j’ai dit concernant Delivrance concernait bien le texte. Les autres chansons du disque m’avaient plutot seduit a l’epoque, tant par le sujet que le fait qu’elles etaient des creations completes ou des creations partagees , comme Tenval ar bed par exemple. Sur cette derniere chanson, j’ai pratiquement achete « A Dublin » a cause d’elle, car je l’avais entendu sur Europe 1 en public , juste avant la sorti du disque, et j’avais vraiment apprecie l’accompagnement guitare entendu a cette occasion. Ce n’est pas la meme chose sur l’album, ou je n’ai pas compris ce qui se passait. Dans la version en radio, c’etait un picking superbe, la ou le disque presente un curieux accompagnement avec un beat semble-t-il a contre-temps? Un musicien m’a dit a l’epoque que cela pouvait se faire, bien que demandant une certaine agilite. Detail encore, pour un morceau vieux de trente ans? Possible, mais ces details s’inscrivent dans l’histoire personnelle du rapport avec un artiste: on a craque sur ca, on a pas compris ce truc-la etc… Ou alors, on ne parle de rien du tout. Et un forum/debat comme celui-ci n’a aucun sens, ou on le borne a un catalogue de compliments et de flagorneries, qui deviendrait un peu ennuyeux a la longue.
Je ne rejette pas le texte de Delivrance, en passant, j’ai seulement regrette que les critiques ne soient pas plus universelles. Je ferais d’ailleurs la meme analyse aujourd’hui quand je lis certains journaux . Et quand a ceux qui mettent un bulletin a gauche en etant tous les jours a droite, la on entre dans un autre debat, qui depasse de loin la musique et l’art, a mon sens. Le probleme est justement que suivant la couleur politique (gauche et droite partagent a part egale ce trait de caractere!), il y a des souffrances , des morts et des injustices dignes ou non d’etre mentionnees. C’est cela qui me gene, pas autre chose. Enfin, quand je dis que Tri Martolod symbolise Alan, et bien , je persiste et signe. Pour moi, qui possede presque tous ses enregistrements, ce n’est pas le cas bien sur. Je pourrais citer plusieurs autres chansons ou morceaux qui sont « Stivell ». Mais pour ceux qui ne connaissent pas trop son oeuvre, ou du moins qui ne la suivent pas depuis des annees, il est plus que probable qu’ils ont entendu ce morceau plus souvent que disons, ceux de One Douar, ou meme de Explore. De toute maniere dire que ce morceau symbplise Alan n’est tout de meme pas insultant , que je sache? C’est le morceau repris regullierement a la fin des concerts, et, ironie de l’histoire, c’est ce meme morceau qu’un groupe controverse avait reutilise/sample il y a quelques annees avec les suites que l’on sait. Pourquoi celui-la? L’autre qui a ete ausi diffuse souvent etait la Suite Sud-Armoricaine, sans qu’on nous en precise le sens d’ailleurs! il faudrait interroger les programmateurs a ce sujet: pourquoi tel morceau et pas tel autre…Je peux egalement preciser pour Alan que discuter/critiquer ses creations il ya 35 ans etait plus difficile qu’a l’heure presente.
Pour clore ce chapitre, j’ai decide de ne plus intervenir dans le debat « Ce que vous aimez ou pas »,car je ne souhaite pas etre le declencheur de polemique en chef.
Pour moi, exprimer des gouts ou des avis implique des divergences possibles. Mais si on doit en venir aux pugilats, meme par ecrits, non merci.
Have a good day!
Bon, j y suis allé un peu direct, excuses. Au sujet de cet accompagnement de Dan Ar Braz à la guitare acoustique, je trouve que cela swingue d ‘enfer. Pour revenir aux textes d’ Alan Stivell , ils se situent dans une couleur d’idées qui me vont tout à fait.
OK, ce n’est pas si grave. Il ne faudrait pas que ce site devienne un champ de bataille, c’est tout.
Cet accompagnement est loin d’etre mauvais, et pas facile a jouer. J’ai achete la partoche a l’epoque et c’etait tout sauf evident. Les textes d’Alan me sont en general proches, je ne pourrais pas ecouter un artiste avec insistance si j’etais en total desaccord avec ce qu’il chante. Je respecte la voix de Sardou, la qualite d’ecdriture de certaines chansons par exemple, mais il y a des trucs qui me posent probleme dans le bonhomme. Voila…
Bonsoir à tous,
Nous suivons depuis le début le débat lancé par Colin en nous doutant bien que cela allait faire des étincelles, et ça n’a pas raté. Voici donc notre grain de sel (de Guérande évidemment).
Bravo à Henri pour son discernement et la manière dont il voit les choses. nous approuvons tout à fait ses opinions et nous insistons sur le fait que les goûts et les couleurs ne se discutent pas, chacun doit avoir son avis sur tel ou tel sujet. Qu’il soit ou non partagé, on n’en à pas grand chose à faire si on reste dans le négatif inexpliqué.
L’important dans ce genre de chose, c’est la diversité des opinions, mais attention cette diversité ne peut se concevoir que si la discussion est engagée avec le premier intéressé, donc avec Alan, directement. Il l’a toujours fait et continue à expliquer sa démarche, ses choix pour chaque morceau enregistré, sa recherche du mieux possible qui a longtemps contrasté avec les possibilités techniques ; il n’en parle presque pas mais il a fait avancer sérieusement les choses et son équipe « son » est au top. Il n’est pas certain qu’il parvienne à convaincre tout le monde, c’est tout à fait logique, mais il ne refuse jamais le dialogue (le temps qu’il passe sur le forum en est une preuve flagrante).
Pour concrétiser, ce n’est pas bien compliqué : si vous avez des reproches quelconques, adressez-vous à Alan qui ne manquera pas de vous répondre. Et là, la critique deviendra constructive au lieu de paraître destructrice (certains mots utilisés sont vraiment désobligeants).
L’éclectisme est pour nous aussi notre culture, 2000 CD et DVD en rayonnage, les seules choses que nous refusons sont celles qui ont trait au racisme, au totalitarisme et à tout ce genre de mouvements. Tout cela n’est pas inné et se travaille tous les jours en passant par la parole ou l’écrit toujours dirigé vers la personne concernée (répétition d’accord mais il faut vraiment mettre les points sur les i).
En conclusion : continuez vos écoutes, allez aux concerts, et profitez du moyen qu’Alan nous offre de discuter.
Cordialement.
je n’ai pas trop vu ce qu’il y avait à ce point de désobligeant dans certains mots mais soit…
Et vous, au fait, vous aimez tout ? Ou parfois certains choix musicaux, textes, concerts d’Alan vous ont laissés perplexes ?
Demad d’an holl,
J’ai parcouru les remarques contenues dans ce topic. Avant de répondre à la question, je voudrais faire quelques remarques :
Je me souviens avoir fait écouter le texte de Délivrance à un ami tunisien, et il l’a énormément apprécié, preuve s’il en fallait de son universalité. Je pensais très sincèrement que ce texte était inattaquable…
Quant à la bombarde en public, je me souviens avoir écouté en boucle la performance de Bal-ha-dañs-plinn au casino de Paris (dvd Parcours), sans pour autant comprendre comment autant de richesse sonore pouvait tenir sur un seul disque, je recommande donc !
Enfin, pour ce qui est des effets de scène, je me souviens avoir été vivement impressionné lors de mon premier concert d’Alan, et même d’autres, par des effets de brume autour de la harpe, ou de lumière en concordance avec des sons. Il faut laisser à chaque nouveau venu la chance de cet émerveillement, tant pis si les moins jeunes peuvent s’en lasser…
Pour répondre à la question, si il y a une chose qui me dérangeait dans la production d’Alan, ce serait la prééminence de Tri Martolod qui peut-être éclipse des créations plus épatantes.
A galon,
Je n’ai pas suivi de près ce débat, un peu par peur de trouver le genre d’affrontements que j’étais habitué à voir (et auxquels, je l’avoue, j’ai moi-même participé) sur d’autres forums. Je ne pense pas que ce soit une mauvaise chose, tant que l’on reste courtois comme l’ont bien dit certains d’entre vous et Alan lui-même.
J’ai 22 ans, et je suis amoureux de la musique dès mon plus jeune âge. J’ai toujours aimé la concevoir sous son « plus beau jour », comprendre par là que du peu d’artistes que j’écoutais étant petit à la profusion de ceux que je suis aujourd’hui, je n’ai réalisé aucun pas en fait : j’aime, peut-être pas tout, mais lorsque je n’aime pas, et je sais que c’est pareil pour la plupart d’entre vous, je me sens gêné… Comme si je ne voulais pas ne pas aimer quelque chose, comme si je ne m’en laissais pas le droit ! Et c’est bien ça en vérité. Bien entendu, je n’aime pas tout dans ce que j’écoute, mais lorsque je n’aime pas, j’essaie quand même de comprendre la démarche de l’artiste et de ne pas lui en tenir rigueur. Et je peux dire qu’à tous les temps, je n’ai même pas eu à me forcer. Soit je n’aime pas un morceau, mais ce n’est pas définitif et je ne désespère pas de l’aimer un jour, ou de trouver quelque chose qui me plairait après réécoute(s). Sur tout ce que j’ai écouté depuis le début de ma vie, il n’y a qu’un album que je n’aime vraiment, vraiment pas du tout et j’en ai pas honte (c’est un disque de Pink Floyd), mais j’arrive quand même à comprendre la démarche (au moins pour le membre qui l’a composé, parce qu’à l’époque il signifiait la fin du groupe). Mais bref vous avez compris mon état d’esprit.
Au moment où je vous écris, j’ai choisi de me passer en fond sonore l’Olympia Concert d’Alan. Alan, ça doit faire dix ans que je le connais vraiment, ou du moins une partie de sa musique. Avant, c’était son intervention pour une phrase sur une excellente chanson d’un non moins excellent album de Laurent Voulzy, et la chanson qui avait le même air que « La Tribu de Dana » de vous-savez-qui, chose qui m’avait bien surpris d’ailleurs… Mais lorsque j’ai découvert le Live à l’Olympia, il a juste suffi de l’écoute de « The Wind of Keltia » et « An Dro » pour que je comprenne que je venais de faire là une sacrée découverte, l’une des plus belles de ma vie (je n’avais jamais écouté de musique celtique avant). Petit à petit j’ai appris à aimer les quatre albums dont je disposais, avant d’acheter le reste, beaucoup plus tard. Comme je l’ai un peu dit dans le paragraphe ci-dessous, j’ai une mentalité un peu bisounours, même si je suis conscient que le reste du monde ne l’est pas. J’ai appris avec désarroi qu’avec Internet qu’il était plus que facile de se cacher voire de se donner un personnage pour parler des oeuvres des artistes, voire des artistes eux-mêmes, et de les « descendre » à tout bout de champ, et par cela je prends en compte le fait d’être injurieux, violent, parfois même opportuniste car bon pour critiquer quelque chose que l’on a aimé… C’est curieux mais tout cela n’a fait que renforcer chez moi la manière dont j’aime les artistes que j’écoute et suis, en particulier mes préférés. Alan fait partie de mes préférés. Pour moi il est un dieu. Bien sûr, je ne le connais pas personnellement, je ne connais que la manière dont il se présente lorsqu’il parle dans un documentaire ou écrit sur le net. Et ce n’est pas une béatification que de dire qu’il m’a toujours plus touché, et donné le sentiment d’être on ne peut plus humain, que beaucoup de ses détracteurs. Alan est sans doute l’un des artistes les plus « vrais » de notre époque et le dernier livre que j’ai lu à son sujet m’a confirmé qu’il l’était déjà étant jeune. Il défend ses idées, ses valeurs, sa musique et il a raison. Je n’aime (malheureusement) pas tout dans sa musique, je ne suis par exemple pas très friand de l’album Explore dont je n’aimais que les morceaux de harpe au début (puis j’ai appris à aimer plus ou moins le reste), ainsi que comme Stéphane, l’album Terre des Vivants. Pour un détail tout bête en plus : le saxophone. Je suis en froid depuis toujours avec cet instrument, je n’aime pas la manière dont il se « marie » avec la musique celtique et du coup, j’ai du mal à écouter en particulier « Gwriziad Difennet » et « Beg ar Van » en particulier sans tiquer (surtout cette dernière, d’ailleurs je ne l’écoute plus tant elle me met mal à l’aise), mais je me dis que Alan en a mis parce que ça lui plaisait ou autre, et ça me suffit. ,
Un autre détail qui prouve sa relation forte avec son public, c’est qu’il vient prendre le temps de laisser des messages sur son forum et d’échanger avec ses fans et amateurs. Et pour ça, je ne le remercierai jamais assez, de même que pour tout l’héritage musical qu’il nous a laissé, et je l’espère, continuera de nous léguer. Curieux de qualifier de dieu un être on ne peut plus humain, je peux paraître risible, mais je vous rassure, je ne le prie pas, ni ne ferai de courbette si un jour je l’ai devant moi. Je serai certes sans doute trop timide, mais je serai aussi très heureux. Je rêve même, et j’espère ne pas gêner Alan en le disant comme ça (car il a son droit de refuser évidemment ! 
et je ne suis pas non plus un genre de groupie hurleuse, à camper devant sa maison…), de réaliser une rencontre musicale un jour avec lui (mais avant d’arriver à son niveau, j’ai du chemin à faire !). En tout cas c’est bien ça, je le considère comme un dieu, mais ce n’est peut-être pas le bon mot, peut-être est-ce héros, je ne sais pas… En tout cas, ce que je sais, c’est que je suis ravi à chaque fois que je l’entends, que je l’écoute, que je lis quelque chose sur lui ou de lui, sa musique, son nom sur le livret des CDs… Il n’y a pas longtemps j’ai réalisé des chroniques de tous ses albums pour un site sur lequel je travaille et j’y ai pris beaucoup de plaisir, de même qu’à faire ressortir son nom en particulier (sur quelques lignes on va dire) dans un petit historique de la musique celtique que j’ai constitué. Ses musiciens du début des années 70 sont, à part lui, devenus pour moi les plus grands musiciens francophones, et je me suis mis en quête de leurs projets après le groupe… Bref tout ça pour dire que même si j’ai réussi à caler dans ce pavé la seule chose que je n’aime pas dans son oeuvre, cela reste quand même bien peu de choses à côté de toute l’admiration que j’ai pour lui, ainsi que toute ma reconnaissance envers lui, pour tout ça, dans la joie comme dans la détresse.
Merci infiniment Alan, je ne le dirai jamais assez… Et je termine avec Chemins de Terre, mon album de musique celtique préféré.
Ne t’inquiète pas White, Alan a lui-même qualifié Paddy Moloney de « jeune dieu de la mythologie irlandaise » !!! Cela dit, connaissant Alan, je ne suis pas sûr qu’il apprécierait les courbettes. Blague à part, c’est quand même fou cette musique qui transcende les générations, que des jeunes comme toi (tu as l’âge de mon fils) écoutent avec plaisir des albums plus vieux qu’eux et les trouvent toujours actuels. Et c’est bizarre aussi ce déclic que beaucoup d’entre nous ont eu dès l’écoute d’un morceau et ont basculé tout entiers dans l’univers celtique. Est-ce Alan ? Est-ce la musique celtique elle-même ? Les deux, puisqu’ils ne font qu’un.
Je rejoins White lorsqu’il dit que pour lui Alan est un « dieu ». Je le rejoins, car je comprends parfaitement ce qu’il veut dire, étant donné que je suis moi aussi dans son cas. Alan est mon musicien et chanteur préféré, depuis bientôt 10 ans également. Je me souviens, le premier album que j’avais acheté était Au-delà des mots, quelques mois après sa sortie. Je ne connaissais alors Alan que par le biais d’une compil de musique celtique que m’avait prêtée mon grand frère. Il y a 8 ans donc, j’achetais Au-delà des mots, attiré dès le premier coup d’oeil par le nom qui y figurait, puis ensuite totalement conquis par l’esthétique général du boitier. Je n’avais à l’époque que 13 ans. Et je me souviens de ma déception lors de la première écoute… ! J’avais navigué en accéléré sur tous les titres, à la recherche de paroles ! De l’instrumental, cela ne m’intéressait pas. Du moins, c’est ce que j’ai cru pendant quelques jours. Puis je me suis un peu forcé la main, car je me sentais un peu gêné, comme le dis White. Et là, à partir de ce moment, j’ai éprouvé un sentiment merveilleux, une admiration sans limite pour la harpe. J’écoutais chaque soir l’album entier avant de m’endormir, et je partais dans des songes paisibles avec l’impression d’entendre encore les cordes vibrer dans le creux de mes oreilles. Je vais vous épargner toute l’histoire, car ce serait bien trop long. Mais j’aimerai dire une fois de plus que c’est grâce à Alan et son Tri Martolod que je me suis lancé corps et âme dans la musique celtique et la musique bretonne, et plus largement dans la musique du monde. J’approche désormais 22 ans (en décembre), et j’ai tous les albums professionnels d’Alan, de Reflets jusqu’à Emerald. Je m’estime assez chanceux, car dans son oeuvre j’aime tout. C’est peut-être un peu ridicule de n’avoir qu’un point de vue positif, mais je n’y peux rien…
Que ce soit des premiers morceaux de harpe jusqu’aux sons électro de Explore, en passant par le New Age de The Mist of Avalon, par le saxophone de Terre des vivants, par l’éclectisme fantastique de la Symphonie Celtique et par le rock breton éparpillé ça et là : j’aime tout.
Et je pense que c’est une chance pour tout humain de pouvoir apprécier les choses anciennes autant que les choses modernes.
Cher White,
J’avais déjà lu quelque part sur ce forum tes réticences envers Beg ar Van, j’en profite pour dire ici que c’est une de mes préférées !!
En tout cas ma préférée de l’album Terre des Vivants. Une Bretagne vraiment authentique s’exprime dans cette chanson, et les paroles sont splendides.
Si je ne m’abuse, il en existe deux versions, la différence résidant dans la longueur : sur Terre des Vivants (8′ et quelques), sur le best of Zoom (4′ et quelques).
[Et de Gwriziad difennet, je suis très admiratif aussi !! je trouve la musique extraordinairement originale et les paroles ++! Come quoi !!]
A galon,
Ah mais vous savez, malgré mes réticences, je trouve que le tout reste très bien fait ! Après tout, on parle d’Alan Stivell, et je reste admiratif de l’oeuvre entière ! (désolé si je me répète un peu en revanche 
)
J ‘ai découvert Stivell vers mes douze ans et ca m a scotché ainsi que les copains . Mieux q’un dieu , c’est un être humain et on l entend dans sa voix. Ecouter Stivell à cette époque c était une ouverture énorme sur sa propre culture mais aussi sur le monde entier puisque qu on découvrait plusieurs styles de musiques au même instant. Je suis devenu musicien de métier après cet electrochoc. Les musiciens de ce groupe étaient et sont toujours fabuleux , inutile de les citer( Olympia, Chemins de terre, Dublin ). Par la suite, de merveilleux albums ( E Langonnet, Raok dilestra,Trema’n inis) Hommes liges des talus en transe un texte de Paol Keineg dit par Stivell lui même. Du lyrisme tout simplement…Plusieurs disques dont le magnifique ‘ An douar ‘ mon préféré avec ‘Chemins de terre’. J’aime son engagement, certains artistes ne le font jamais…….. Francois Béranger le faisait, Stivell le fait encore. Pour moi c’est indisociable de la musique. Dans Délivrance il y a ceci’ et nous ouvrirons nos yeux au monde’ Que du fun. Merci. Ne faites pas attention aux fautes d aurtograffes