Alan, très cher Alan,
Il y a des mots que l’on peut exprimer, et d’autres pour lesquels c’est un peu plus difficile. Pour ma part, je n’ose malgré mon euphorie totale utiliser dans ces quelques phrases une trop forte dose de superlatifs et autres épithètes plus que positifs et encourageants. Je voulais simplement te dire merci, un grand merci, un immense merci.
J’avais déjà plutôt bien apprécié le single « Brittany’s », mais je dois dire que non seulement la version longue m’est déjà encore plus chère, autant tout ce qui suit n’a fait que me conforter dans mon idée qui était déjà inchangeable, irréfutable : pour moi tu étais, es, et sera toujours le meilleur de tous. Et avec Emerald, je ne crois pas me tromper en avançant que nous tenons là le Chemins de terre moderne, et certainement mon album préféré de toi depuis l’immense Symphonie celtique, Au-delà des mots mis à part.
Quelqu’un disait qu’il faudrait que le titre de l’album soit mis au pluriel, et il est vrai que chaque chanson est, immédiatement (ou à la première écoute si vous préférez) ou pas, une belle émeraude, qu’il s’agisse d’un rock lourd et puissant (« Gaels’ call », « Goadec rock »), qu’une chanson pop efficace (« Brittany’s »), qu’un kan ha diskan, ou qu’une ballade folk… Et je remarque pas mal de similitudes entre ces styles, arrangements et mélodies et ceux des morceaux du mythique Chemins de terre qui reste pour moi l’album référence en matière de celtitude. Je crois que ce que je préfère dans Emerald, c’est le trio « Eibhlin » / « Aquarelle » / « An hirañ noz », tout simplement magique et fabuleux…
Encore merci infiniment Alan pour ce pur bonheur. Je pense que c’est un album qui fera date, et pas que dans ma propre vie.
Marco