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Sauvegarde de la langue Bretonne


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(@import)
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Je pense qu’avec les partis politiques, il faut être pragmatique.

Ce que dit Sarkozy, c’est qu’il a «toujours été minoritaire dans la majorité» sur cette question. »

Donc, même si lui est favorable, son parti est contre. Et il ne va pas s’impliquer sur cette question. Si c’était le cas il l’aurait déjà fait. Il a de toute façon déjà dit qu’il ne voulait pas signer la Charte sur les langues minoritaires. Donc mauvais point pour lui.

Ce qui compte ce sont les actes, parce que les paroles …

Le parti le plus favorable à ce que nous souhaitons, c’est le parti des Verts, et je pense que c’est ce parti qu’on doit favoriser .. dans la mesure de nos moyens !

Je ne pense pas qu’ils iront jusqu’à nous obliger à nous éclairer à la bougie ! Et même, ça peut avoir son charme !

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Posté : 10/03/2011 7:05 pm

(@import)
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brûler la bougie, malheureux ! ça dégage du CO2

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Posté : 10/03/2011 7:18 pm

(@import)
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Arabat bezañ re hegredik, tudoù !
Komzoù flour ‘zo aes evit forzh piv, o lakaat da dalvezout ‘zo un dra all !

Ne soyons pas trop crédules !
Les belles paroles sont bien faciles pour n’importe qui ; les mettre en pratique, c’est une autre paire de manches !!

Evel-just e vefe gwelloc’h deomp bezañ harpet gant ar bolitikourien…
Evel-just e vefe gwelloc’h deomp kaout sikour ar mediaoù…
Evel-just e vefe reizh kaout o sikour hep bezañ rediet da bouezañ, da c’houlenn…
Pouvoir vraiment compter sur les pouvoirs publics, les élus, les médias nous serait très utile évidemment et devrait aller de soi…

Met ar pezh a ra diouer deomp da gentañ penn ez eo youl ar vretoned o-unan da saveteiñ o yezh, a soñj din.
Aes eo din lavarout kement-mañ : war an dachenn e vezan bemdez-Doue abaoe ouzhpenn 30 vloaz.

Mais avant tout c’est la volonté des bretons eux-mêmes qui nous fait défaut pour la sauvegarde de notre langue.
C’est facile pour moi de le dire : c’est au breton que je consacre l’essentiel de ma vie depuis plus de 30 ans
.

Kred’ a ra din e ranker bezañ sklaer : n’eo d’ar bolitikourien, n’eo ket d’ar mediaoù da gas an traoù en-dro ha d’ar vretoned da vont da heul.
Ar c’hontrol ez eo !
D’ar vretoned ez eo neuze da zispakañ o youl da saveteiñ o yezh ha da sachañ nerzhioù ar bolitikourien hag ar mediaoù war o zu !

Je crois qu’il faut être clair : les bretons n’ont pas à attendre des politiques et des médias qu’ils agissent pour la sauvegarde de leur langue si eux-mêmes ne se prennent pas en main.
C’est bien le contraire !
C’est aux bretons de faire valoir leur volonté de sauvegarder leur langue et c’est à eux de pousser les politiques et les médias à agir dans le bon sens !

Hag aze ‘mañ an dalc’ d’am soñj…
Gwan e chom youl hor c’henvroiz d’ober war-dro o yezh.
Dindan ouzhpenn 30 vloaz labour o skoliata bugale e brezhoneg, n’em eus ket gwelet kalz a gerent oc’h ober ar striv da zeskiñ ar yezh da heul o bugale, da skouer.
Ha reizh eo koulskoude e vefe fiziet er vugale kiriegezh ur yezh ha n’o deus ket o zud int-i o-unan graet ar striv da zeskiñ ?
Ha koulskoude petra c’heller ober gwelloc’h eget deskiñ ha komz brezhoneg ma fell deomp e saveteiñ ?

Et c’est là que le bât blesse à mon avis…
La volonté de nos compatriotes à agir pour leur langue est bien faible.
En plus de 30 années d’enseignement en breton, je n’ai pas vu beaucoup de parents faire l’effort d’apprendre la langue en même temps que leurs enfants, par exemple.
Et pourtant est-il recevable de confier à des enfants la responsabilité de la sauvegarde d’une langue que leur parents eux-mêmes n’ont pas assumée ?
Et pourtant que peut-on faire de mieux pour la sauvegarde du breton si ce n’est l’apprendre et l’utiliser ?

Afer an holl e Breizh eo dazont ar brezhoneg.
Ha n’eo ket afer ar bolitikourien, ar mediaoù pe ar rummadoù nevez nemetken.
Gwelloc’h eget gortoz anezho a c’heller ober : kregiñ ‘barzh, peadra ‘zo !
 
L’avenir du breton est entre les mains de tous en Bretagne.
Et pas seulement à la charge des politiques, des medias ou des jeunes générations.
Ne soyons pas « attentistes », on risquerait d’attendre longtemps ! Agir c’est mieux et il y a de quoi faire !!
 
rabat deomp chom genaoueg,deskomp brezhoneg !
Ne soyons pas c…, apprenons le breton !


Evezhiadenn : Gouzout a ran ez eus un toullad tud oberiant-tre evit hor yezh e Breizh evel-just ; trugarez dezho !

Remarque : Je sais bien qu’il y a bon nombre de gens en Bretagne qui se décarcassent au quotidien pour la sauvegarde du breton ; merci à eux !

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Posté : 10/03/2011 8:01 pm

(@import)
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C’est effectivement une perspective assez préoccupante…

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Posté : 11/03/2011 12:03 pm

(@import)
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Je fais le même constat que Laouen : 10 ans en classe bilingue (en pays gallo) et pas de parents à se mettre sérieusement au breton malgré les cours du soir et tous les documents que j’ai pu leur fournir. Des raisons de santé m’ont fait arrêter l’enseignement mais je serais reparti vers le monolingue tellement j’étais fatigué et découragé.
On se demande que faire pour sensibiliser vraiment les gens déjà à notre toute petite échelle et avec nos tout petits moyens. De cette constatation à une sensibilisation régionale (à 5) je ne vois pas vraiment d’issue tant qu’un mouvement fédérateur ne se mettra pas en place et où chacun oubliera ses autres étiquettes. Nous sommes des centaines, des milliers à militer chacun dans notre coin, ce sont toutes ces énergies qu’il faut regrouper.
Il y a deux points principaux à viser : la réunification et la langue, on pourra voir ensuite pour le reste (plus d’autonomie régionale, l’économie …) le principal est de refonder la Bretagne à 5 départements et d’y permettre l’enseignement de ses langues. Serait-ce trop difficile de se réunir autour de ce projet ?

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Posté : 11/03/2011 1:59 pm


 alan

(@alan)
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toute la question est d’arriver, là aussi, à dépassionner (dans le bon sens, j’entends, puisqu’il faut rester positivement passionnés) le débat, et que les gens arrivent à discuter détendus.
C’est de bons kinés qu’on a besoin.
Il me semble qu’il faudrait pouvoir accepter de ne pas travailler « en boîte » mais pouvoir vivre nos doubles appartenances, et toutes nos nuances.
Il faudrait imaginer et construire un Emsav global et structuré.  Et il faudrait que ceux qui veulent continuer à être aussi, en même temps, dans des partis (bretons et français), ou d’autres organisations, puissent le faire.
Et je serais pour une grande tolérance, sachant que, pour qu’il soit vivable, on ne pourrait accepter les fous d’extrême droite.

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Posté : 22/03/2011 8:01 am

(@import)
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C’est vrai ce que vous dites Alan. D’ailleurs ce qui fait la force et la richesse d’un Etat voire d’un Emsav ce sont les différences, les particularités de chacun, pour construire ensembles. IL y a tant de passion et de ressentiments, que ça finit par séparer plutôt qu’unir. Nous avons du travail à faire pour déjà faire taire nos petits orgueils et avancer tous ensemble.
D’accord avec Yann-Bêr sur les deux points principaux. Mais rien que d’y penser ça peut déjà décourager car au niveau de la langue nous sommes nos propres ennemis.
Courage à tous et à chacun!

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Posté : 22/03/2011 9:42 am


 alan

(@alan)
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ce n’est pas qu’il ne faut pas être exigeant, en particulier avec soi-même. Mais il faut aussi ne pas culpabiliser de ne pas avoir le temps et la possibilité d’apprendre le Breton de B à ZH en une année.
Je crois normal que des gens, qui s’interessent à la culture bretonne au sens large y incluent dès que possible une initiation à quelques bases. Commencer par 30 mots, puis apprendre une conjugaison du présent.
Et une fois ce projet facile réalisé, c’est un grand pas pour une suite, qui ne serait pas encore de parler bien, écrire bien, mais pouvoir déjà « baragouiner ».
Imaginons que la plupart des bretons et d’autres interessés arrivaient à réaliser ce projet si peu utopique, ce serait énorme.

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Posté : 22/03/2011 11:45 am

(@import)
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Arabat digalonekaat !
Ne nous décourageons pas !

Evel ma ‘m eus bet tro da lavarout un nebeudig amzer ‘zo, ez eo re wann startijenn ar vretoned o-unan da saveteiñ o yezh…
Met arabat krediñ ez on c’hwerv evit se, arabat krediñ e vagan soñjoù du diwar kement-mañ. 
Ne ran nemet lavarout sklaer ar pezh a verzan bemdez tro-dro din.

Comme je l’ai déjà dit il y a quelque temps, les bretons dans leur ensemble ne montrent pas suffisamment de détermination à sauver leur langue…
Ceci dit il n’y a dans mon propos ni amertume ni découragement. C’est juste une constatation…

Kred’ ra din ez eo ret gwelet sklaer evit bezañ gouest da vont war-raok… 
Setu aze un doare d’en ober :
1. Fall eo stad ar brezhoneg, anat eo.
2. Saveteiñ ar yezh ne c’hell bezañ nemet afer an holl.
Ur wech sklaer war gement-mañ, e c’heller ober an dibab : leuskel da vont pe talañ ouzh ar gudenn.

Je crois qu’il faut être réaliste si l’on veut avancer…
Et voici une réalité :
1. La situation actuelle du breton est mauvaise.
2. Sauver notre langue est l’affaire de tous les bretons.
Ce principe de réalité étant posé, deux alternatives s’offrent à nous : laisser aller ou s’attaquer au problème.

Ma vezer niverus oc’h ober an dibad da leuskel da vont e vo kollet hor yezh un deiz bennak.
Ma vezer niverus oc’h ober an eil dibab e vo aesoc’h mont war-raok ha kaout spi…
Da bep hini da c’houzout mat ar pezh a fell dezhañ, eta !

Si nous sommes nombreux à opter pour le laisser aller, notre langue se perdra un jour.
Si nous sommes nombreux à faire le second choix, nous pourrons aller de l’avant et espérer…
C’est à chacun de savoir ce qu’il veut !

Me ‘m eus graet va dibab abaoe pell ha n’ez ket anv ganin e mod ebet da zistreiñ war va soñj…
Met n’on ket perc’henn war dazont ar yezh evit se ! 
N’on perc’henn nemet war va dibab ha ne ro ket hemañ aotre din da varnañ dibab va c’henseurted…
Pep hini a ra hervez e soñj ha n’eo ket din da genteliañ ar re all.
Me ne ran nemet treuzkas an hêrezh a zo bet fiziet ennon evel dleet.
Gwir mab-den eo komz ha treuzkas e yezh !
Hag un dever marteze ivez ?!

Personnellement j’ai fait mon choix depuis longtemps et j’ai bien l’intention de m’y tenir…
Mais ce n’est pas pour autant que je me sens le droit de m’approprier l’avenir de la langue !
Seul mon choix m’appartient, ce qui ne m’autorise en aucun cas à juger de celui de mes compatriotes…
Chacun fait son choix en conscience et je n’ai aucune leçon à donner à qui que ce soit.
Je suis seulement détenteur (le temps d’une vie) d’un héritage qu’il me faut transmettre au mieux.
Parler sa langue et la transmettre fait partie des droits de tout être humain.
Un devoir peut-être aussi ?!

Lod a lavaro din e kasan war-raok ul labour didalvez hag e varvo hor yezh forzh petra a rafen ?!
Marteze…
Met dre ma n’on ket perc’henn war dazont ar yezh, ne c’hellan ket bezañ perc’henn war he marv !
Ar chañs da anavezout yezh va zud-kozh ‘zo bet roet din, ha ne c’hellan ober nemet treuzkas ar chañs-se evit bezañ reizh da geñver ar rummadoù da zont, ha netra all.

Certains me diront que c’est un devoir sans intérêt que je remplis là, et que de toute façon le breton mourra.
Peut-être…
Mais il ne m’appartient pas d’en juger.
J’ai eu la chance de connaître la langue de mes grands-parents, et je ne peux que la transmettre si je veux vivre en cohérence avec les générations à venir, et rien de plus.


Hag evit echuiñ : Trugarez d’an holl-re a ra ar striv da zeskiñ brezhoneg, ha d’e implij ar muiañ posupl.
Et pour finir : Merci à tous ceux qui font l’effort d’apprendre le breton et de l’utiliser le plus possible.


A wir galon,
Cordialement,


Laouen

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Posté : 27/03/2011 11:04 pm

(@import)
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Je partage tout à fait ce point de vue ; malheureusement, je vis en France, ma langue maternelle n’est pas le breton, ni celle de mes parents ou grands-parents. Je l’ai appris, un peu (bc) oubli, et je compte m’y remettre, mais je ne transmettrai pas cette langue à mes enfants. Si seulement cela pouvait faire réagir des Bretons, qu’un non-breton apprenne leur langue, et qu’ils s’y mettent….

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Posté : 27/03/2011 11:43 pm

(@import)
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Stefan en deus skrivet/ Stefan a écrit :
« Si seulement cela pouvait faire réagir des Bretons, qu’un non-breton apprenne leur langue, et qu’ils s’y mettent…. »

Setu perak e klaskan kaout soñj atav eus an holl re a zesk brezhoneg  (e vefent e Breizh pe get).
Raison pour laquelle j’essaye de ne pas oublier de prendre en compte dans mes propos les efforts de tous (en Bretagne ou ailleurs)

Laouen

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Posté : 27/03/2011 11:54 pm


 alan

(@alan)
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j’en reste à mon cheval de bataille: attirer l’attention sur l’insulte aux droits de l’humain qu’est la situation faite aux bretons d’être sans infos sur la Bretagne, objectivement pas plus (sur ce point) que dans les régimes totalitaires.

Chom ‘ran staget doc’h ar poent-man:
dao eo klemm ‘vit gwirioù « mab »-den, d’an nebeutañ ar gwir da vout kelaouet diwar hor bro: n’hon eus ket aze muioc’h a wirioù ha broioù hep demokrasiezh ebet.

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Posté : 28/03/2011 9:00 am

(@import)
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Hmm ! N’ouzon ket re vat petra a dalv evidoc’h « bezañ kelaouet diwar hor bro », Alan, met anat eo din n’hon eus ket kalz a bouez er mediaoù. Hor pouez politikel n’eo ket kreñv a-walc’h kennebeut, sur eo…
Met ur wech diskleriet kement-mañ, n’ouzon ket re vat pelec’h e vefe ret mont da glemm evit bezañ selaouet. 
Ha klemm n’eo ket tre ar pezh a fell din ober…
Padal e soñj din ez eo a-bouez bras derc’hel ar muiañ posupl a zarempredoù gant hon dilennidi lec’hel a-benn lakaat anezho da talañ ganeomp ouzh ar stourmoù hon eus da gas da benn. 
Diskleriañ e talvez hol labour saveteiñ hor yezh kement ha difenn gwirioù Mab-den zo reizh soñj din ; ‘pezh ‘zo, evit bezañ klevet ha selaouet e vefe ret deomp kaout muioc’h a-bouez… Hag evit se (ur wech all c’hoazh) ez eo ret d’ar Vretoned o-unan kregiñ ‘barzh !!!
N’eo nag an dilennidi nag ar mediaoù a gemero hor stourm e karg…
Ar re-se ne lakaont o galloud da dalvezout nemet pa vezont broudet d’en ober…
Evel-se eo e vevan an traoù bemdez…

Je ne sais pas bien ce que recouvre pour vous le « sans infos sur la Bretagne », Alan, mais il est évident à mon avis que nous n’avons que peu d’importance pour les médias. De même que nous n’avons pas assez de poids sur le plan politique, c’est sûr…
Mais une fois ceci déclaré, je ne sais pas l’attention de qui il nous faudrait attirer.
Et me plaindre c’est pas trop mon truc !!
Par contre je pense qu’il est primordial pour nous de tisser autant de liens que possible avec nos élus locaux de façon à les rallier peu à peu à notre cause.
Il me semble que nous pouvons en toute légitimité déclarer haut et fort que travailler à la sauvegarde de notre culture et de notre langue, c’est travailler à défendre les droits de l’Homme ; mais pour être entendus et écoutés il nous faudrait avoir plus de poids… Et pour cela (une fois encore), il est nécessaire que les Bretons eux-mêmes se prennent en main !!
Ce ne sont ni les élus ni les médias qui prendront notre lutte en charge…
Ils ne seront jamais que le relais de ce nous ferons-nous…
C’est en tout cas comme cela que je vis les choses au quotidien…

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Posté : 30/03/2011 7:43 pm


 alan

(@alan)
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‘vidon-me sklaer ‘walc’h an traoù memestra:
ar vro nemetañ er Bed holl eo Breizh, pe e-barzh ar re ‘lec’h ‘vez dianav peptra gant 95% an dud. Ne oar anezhe netra, tamm ‘bet eus o istor, ne oar ket pelec’h ‘mañ harzhoù ar vro, mennozh resis ebet war ar yezh, memes pa komz anezhi. Dao klemm en aozadurioù etrebroadel a-enep un dra a-enep a denelezh dre-holl.

Pour moi, c’est clair, pourtant: la Bretagne est le seul pays ou un des seuls au monde, où 95% des gens sont tenus dans l’ignorance quasi-totale de leur pays. A tous les échelons de l’enseignement, et à travers tous les media. D’abord l’Histoire. Ensuite, ils ne savent même pas où s’arrête leur pays, et même quand ils parlent Breton, ils ont des idées bien vagues sur ce qu’est la langue, les notions de variantes, de langue littéraire, et ne parlons pas de l’art celtique, l’architecture, etc.
Nous sommes un cas à part.
Il faut se plaindre aux organisations internationales de ce crime contre l’humanité.

‘Mod all, atav memestra: araok goulenn d’an dud fichal, dao eo lakaat anezhe da selaou kanerien ha sonerien ar vro er radio, en tele. Dao eo klemm aze ivez.
N’eo ket souezhus e chom evelse an dud e Breizh.

Par ailleurs, toujours pareil: avant de demander aux gens de bouger, il faut qu’ils aient accès aux artistes d’ici pour simplement actualiser leurs « notions » de musique et de chanson bretonne, de modernité culturelle. Il faut se plaindre aussi aux media.

Rien d’étonnant dans cette situation unique que les gens restent un peu amorphes.

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Posté : 30/03/2011 8:25 pm

(@import)
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Marteze a-walc’h Alan…

Met n’eo ket tout !!!
N’on ket gouest da chom pelloc’h hiziv met dont a rin en-dro dizale !!

Kenavo

Laouen

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Posté : 30/03/2011 9:09 pm


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