OUQOAlan…pour le plaisir de la discussion.
Si ces contemporains sont des hommes et des femmes publiques, qui mènent des actions économiques et, ou culturelles, remplissent des fonctions politiques et sociales ou diffusent et émettent des avis, commentaires et opinions largement diffusées par les grands médias qui influencent le cours de nos pensées et de nos vies, alors je considère que le droit de critiquer se doit, en plus, d’être doublé du devoir de le faire.
S’il faut au citoyen (de base) l’obligation de se lancer dans une autocritique ou examen de conscience, dans une introspection globale et personnelle, voire une psychanalyse, avant d’avoir le droit de juger ces dires et écrits et d’y coller une critique négative, alors tous ceux qui veulent vous entraîner là où ils le désirent, en fonction de leurs intérêts propres, ne risquent pas de rencontrer beaucoup d’opposition, ni d’envisager de remise en question! (:0(
Moi ce qui me choquerait (si cela faisait partie de mes vapeurs) c’est que l’on prétende changer le réel, seulement par des nuances qu’elles soient sémantiques, verbeuses, d’apparences ou de postures. Le réel lui, s’empoigne et donne des cals aux mains et n’a que faire de la nuance.
L’état du couvreur qui tombe d’une toiture, n’a rien à voir avec celui de la secrétaire général du PS ou autre, qui tombe de haut …dans son fauteuil en lisant une critique acerbe sur sa petite personne ! Et que dire de ce fameux cambouis _qui doit se sentir insulté_ ou tant de *mains blanches et douces* prétendent plonger…
Quant aux hommes (et femmes) bons ou méchants, en regardant l’état du monde et comment il est drivé… je hoche la tête, dubitatif !
…et je me demande quel poids et surtout quel impact peuvent avoir mes critiques éventuelles, comme celles des autres ! (?)
Bonne journée Alan.
Frappes d’inattention au début. Excuse moi.
il est possible d’influer le cours des choses. Je l’ai au moins fait un peu en Bretagne. C’est en tous cas bien mieux que rien. D’autres que moi l’ont fait ici ou ailleurs. Autant le dire et ne pas laisser croire que c’est impossible.
En Bretagne, on aurait pu avancer davantage, si, par exemple, certains contestataires de l’ordre établi avaient été capables d’auto-critique.
C’est un constat. Ce sont des faits. Pas une humeur.