Pornizh, 8octobre

 

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Pornizh, 8octobre

(@import)
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Plus de trois ans sans te voir en concert Alan, ça commençait à faire un peu long !
Depuis le mois de janvier, chaque fois que j’ouvrais le tiroir de mon bureau, le billet de la soirée du 8 octobre me faisait de l’œil. Neuf mois à attendre! Plus que trois mois, plus que quinze jours, plus que deux jours, plus que…
Une attente longue mais tellement délicieuse !

Ça y est, me voilà ravie d’avoir vécu ce moment si important pour moi dans la douceur automnale et la lumière éclatante d’un lieu que je ne connaissais pas encore, Pornizh.

J’ai particulièrement apprécié ce concert, tellement heureuse d’avoir revu Gaëtan à tes côtés et d’avoir fait connaissance avec tes nouveaux musiciens et musicienne. Je ne sais pas depuis combien de temps vous vous connaissez mais j’ai trouvé que vous aviez une belle complicité et beaucoup de bienveillance les uns-e envers les autres, notamment lors du petit couac où tes musiciens-ienne étaient partis-es sans toi , ce qui a nécessité l’intervention d’Owen pour te « rebrancher » ! Les aléas du live !
J’ai redécouvert un morceau « Cease fire » que j’ai trouvé magnifique. C’est la première que je t’ai entendu chanter « An hini a garan » en concert, ce chant que j’adore et qui me touche tant.
C’est toujours un plaisir d’entendre les « An alarc’h », « Breizh raok », « Son ar chistr » et tous ces morceaux tellement rocks et entraînants qu’ils me font vivre un calvaire, chaque fois que je suis contrainte de rester clouée sur ma chaise !!! La pauvre chaise, elle a dû souffrir quand-même un peu! La délivrance est enfin arrivée lorsque tu nous as invité-ées à nous lever pour le « Bro gozh », Vive les concerts debout !

Et, bien-sûr, un grand merci à toi pour ta générosité et ta gentillesse, lorsqu’après le concert tu viens nous saluer et échanger quelques précieux instants avec chacun et chacune. Tu as passé beaucoup de temps avec nous ce soir-là, ce qui inquiétait fortement Owen, qui, depuis le bord de la scène t’interpellait pour aller manger. Il craignait que tu fasses un malaise ! Et moi, j’étais là, en train de lui dire : « Non, attend un peu, je ne lui ai pas encore dit bonjour! ». J’ai été très touchée par ce côté très paternaliste d’Owen envers toi, et très rassurée de savoir qu’il y a quelqu’un qui se préoccupe autant de toi ! Merci Owen !
Et puis, je n’oublie pas la belle rencontre avec mes voisin-voisine à ma gauche, Charles et Irvine, qui, comme par hasard, venaient du même coin que moi dans la région toulousaine…

Au plaisir de venir te réécouter, en Bretagne ou ailleurs. J’espère qu’il y aura une séance de rattrapage pour celles et ceux qui n’ont pu venir à Rennes ou à Paris pour le concert avec l’orchestre nationale de Bretagne.

A greiz kalon,
Laurence

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Posté : 11/10/2022 1:14 pm

 

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