Notifications

Retirer tout

Olympia J+5!

(@import)
Membre

Vais-je trouver les mots pour dire ce que j’ai vécu en cette soirée tant attendue du 16 février?

Plusieurs jours se sont écoulés depuis cet exceptionnel rendez-vous et je n’arrive toujours pas à me séparer des sensations physiques et des émotions qui m’habitent depuis. Ce qui s’est passé ce soir-là m’aura marquée à vie. Autant pour toi, Alan, il y a eu un avant et un après Olympia 1972, autant pour moi il y a un avant et un après Olympia 2012. Comme si tu avais voulu offrir un nouvel Olympia à ceux qui n’étaient pas là il y a 40 ans.

Connaissant ton professionnalisme, ton exigence, je savais que je n’allais pas être déçue, mais cela a été bien au-delà.

Ce que tu nous as offert ce soir-là est un immense cadeau que tu nous as fait. Epoustoufflant, énorme, grandiose, magique, profond, émouvant…

Sensibilité, émotion, formidable énergie, partage, humanité, complicité, surprises, rencontres, joie, bonheur…toute la panoplie des émotions et des valeurs qui me sont chères y est passée, un grand choc émotionnel.

Qu’est-ce que ça fait du bien de vivre des moments comme ceux-là!
Rares mais tellement intenses,
on se sent entouré par des milliers de personnes qui vibrent à l’unisson pour une même musique, une même langue, une même cause … un même artiste.

J’ai ressenti un belle énergie positive dans la salle, une belle complicité entre tous : musiciens, public et toi.

Quel magnifique cadeau tu m’as fait lorsque tu es descendu vers nous et que tu m’as tendu ta main pour démarrer un An Dro. Il est vrai que je commençais à ne plus tenir assise sur mon strapontin numéro 17 et que tu ta venue tombait à point tellement j’avais envie de me lever. Pour moi, il était inconcevable de rester assise tout le long du concert, mais je ne savais comment m’y prendre pour me lever tellement il y avait peu d’espace entre le premier rang et la scène, plus la présence de vigile qui au moindre écart nous rappelait à l’ordre.

Le retour à la réalité ne s’est pas fait en douceur effectivement. Malheureusement il y a toujours cette fichue sécurité qui est là pour nous rappeler qu’il ne faut pas traîner, qu’il faut se dépêcher de sortir…
comme si on pouvait passer du paradis à la terre comme ça, en moins de deux minutes!

Voilà en résumé comment personnellement j’ai vécu cette soirée.

Oui Alan, ce soir-là, tu nous as emmenés très loin, très haut…
et je t’en remercie in-fi-ni-ment.

A greiz kalon,
Laurence

Citation

Posté : 21/02/2012 3:26 pm

(@import)
Membre

« Laurence »« Laurence »

… plus la présence de vigile qui au moindre écart nous rappelait à l’ordre.[ .. ]

Oui, c’est un vrai problème mais :
– ils font leur boulot
– dans ce genre de salle, c’est toujours comme ça : une fois la représentation terminée, on boucle au plus vite
– ils avaient peur pour la caméra Laughing

Nous étions, avec mon épouse, juste à côté de toi.
Vraiment au cœur du spectacle et de l’émotion.

Une plus grande salle (Bercy par exemple) donne davantage de liberté mais on est beaucoup moins au cœur de l’événement.

RépondreCitation

Posté : 21/02/2012 4:43 pm