Existe-t-il une littérature bretonne?
Existe-t-il une littérature bretonne en langue bretonne?
S’il faut croire les détracteurs de la langue, celle-ci serait à ce point dépourvue de vocabulaire et de moyens d’exprimer des pensées abstraites que le seul fait de dire qu’elle possède une littérature serait faire insulte au bon sens.
Nous ne connaissons que la littérature française. Tout d’abord parce qu’elle nous a été imposée par programme adapté à nos âges et conditions sociales lors de notre conditionnement pour mise à l’état de citoyen.Aussi par le fait qu’on l’a décrite comme incomparable…. Ensuite, parce que nos propres moyens d’expression, sans être totalement muselés, ne possédaient pas de larges moyens de diffusion.
Ensuite, parce qu’instruits en français nous n’avions que cela comme horizon..Bon en français. Nul comme breton…
Il y a eu, tout d’abord, ce qu’on pourrait appeler « Le Rapt » ou « L’expropriation ». Des œuvres qui constituent les soubassements de la littérature européenne, voire mondiale, telles « Le cycle Arthurien » – » Les contes d’Osssian » ont été dépouillées de leurs origines de par leur traduction…. Dès le départ, toute œuvre celtique ayant acquis une quelconque réputation s’est trouvée transplantée dans une littérature qui n’était pas la sienne….
La même chose s’est passée pour le « Batzaz Breiz » et, plus près de nous, pour » le cheval d’orgueil. »
C’est comme s’il y avait un reniement de la littérature bretonne en langue bretonne.
Certes, si celle-ci devait mesurer au poids des livres ou au nombre de pages de ces derniers, nous n’aurions à présenter qu’une dizaine de romans valables…. Je ne les nommerai pas pour éviter les polémiques……
Mais notons quand même que ces livres existent et que certains, même tout récemment, ont fait un certain bruit….
Il n’y a donc pas indigence de la pensée comme le croient certains. Une absence de vivre de sa propre plume, d’avoir le temps d’écrire, de trouver des lecteurs….. tout cela ne joue guère en notre faveur…..
L’essentiel de la littérature en langue bretonne se tient dans la nouvelle courte. Celle-ci posséde une densité qui lui est propre. Tout d’abord par le mlieu dans lequel évoluent l’auteur et ses personnages. Ensuite, parce que on trouve dans cette nouvelle un concentré de livre complet qui n’a pu connaître un développement normal….
Nous sommes donc quasiment inexistants sur le plan du roman. Par contre, serait-il exagéré de prétendre d’avoir un bon rang mondial dans les « faiseurs » de nouvelles?
Réfléchissons y. Et si la réponse est oui, alors, la littéraure bretonne en langue bretonne existe bien sous forme de nouvelles ……
Peut-être va-t-on me demander: ‘Lesquelles? »
Je ne suis pas un « Par dube » ( Monsieur « je sais tout » (1))…..
Je recommanderais d’abord les nouvelles de K.Brisson comme « Labous an donvor » , ou » An triskell » ou
Ar reder mor….. à déguster à petites doses…. avant de s’ataquer aux récits du regretté CH ar Gall et aux voyages de
Yves Miossec, qui, tout comme Chateaubriand, nous fait une description incroyable des chutes du Niagara…
Il y a là de quoi se mettre en appétit!
Bonne lecture à tous…
A la fac, il y a des cours de littérature bretonne…
Ouaille! Nenn Jani qui est un livre qui ne vaut pas un clou était au programme du Capes. La méthode Brezhoneg buan hag aes qui est truffée d’erreurs est encore en vigueur à Rennes (Il me semble). on entend des profs dire: Me am-eus kroget da zeski brezoneg…. De façon systématique beaucoup d’œuvres d’emleo Breiz ne semblent pas avoir la faveur de Rennes…..
On y trouve surtout des termes savants t les moyens de se svir de l’atlas linguistique de Bretagne pour savoir quels azimuts inutiles à donner à sa langue quand on change de « pays »…..
Voez le forum « ACadémia celtica » et ce qu’on en dit sur Wikipedia (en français…°
Une littérature pour « petites filles modéles »????
Mon propos s’adressait surtout aux débutants du forum….
en tout cas c’est interressant de soulever la question!
Je ne sais pas si cela exite mais peut être qu’ouvrir une petite imprimerie qui éditerais en breton, des ouvrages venant de tous horizons:
afrique, pays anglo saxon, pays francophone!
tines j’ai une idée comme premier ouvrage à traduire en breton:
heu au hasard Victor Hugo, vous semblez l’apprécier héhéhéhé
nan je rigole mais après tout cela pourrait interresser les 200 000 personnes qui parle la langue bretonne de lire shakespeare en breton, l’odyssée d’homère, ou le poète Boileau, Alfred de vigny et je ne sais quoi d’autres comme oeuvres qui à mes yeux sont merveilleuses !
il existe bien tinitn en breton
Mon cher Gaeltz,
Sapre farser! Tu dis:
nan je rigole mais après tout cela pourrait interresser les 200 000 personnes qui parle la langue bretonne de lire shakespeare en breton, l’odyssée d’homère, ou le poète Boileau, Alfred de vigny et je ne sais quoi d’autres comme oeuvres qui à mes yeux sont merveilleuses !
Quant à ALfred de Vigny, c’est également fait dans un « Brud Nevez ». Il s’agit de « Lizette et le cachet rouge » ou un titre comme cela….
Pour l’iliadet l’odyssée je suis moins sûr. Mais je crois que le compte est bon…
Boileau je be sais pas……
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Sapré farser! Sakespeare déja été traduit en breton! deux de ses pièces « Mort et vie du roi Jean » et une autre dont je ne me souviens plus… traduite par je ne sais plus qui non plus…..
Voici un court extrait du « Roi Jean »….
Lodenn gentañ
Emeur dindan telt roue Bro-Hall
Konstañz hag Arzur, a zo en o azez. Ar roue Yann, Filip, Loeiz ha gwenn, Aliénor, Ar bastard, Ostrich, Salisbury ha tud all a zeu tre.
Filip: Gwir eo va merh kaer! An deiz benniget-mañ a vo lidet da viken e Bro-Hall.
Evid e lakaad da splannaad bravoh c’hoaz e ra an heol eun dro fizik euz ar re zouezuza dre derri e houzoug muioh muia. Dre splannder e lagad priziuz e tro en aour an traou disterra war ar hoz douar-mañ. Eun deiz a vloaz laouen a vo an deiz-se evid an amzer da zond!
Konstañz: Eun deiz a walleur eo ha nompaz eun deiz a laouenidigez!
Sevel a ra en he sav
Peseurt talvoudegez e-nefe an deiz-ze? Petra e-neus greet evid lakaad e ano da lugerni mesk-a-mesk gand ar zoñj euz an taoliou kaerra. Gwelloh e vefe diverka diwar ar pemdeiz an deiz a vez-se, an deiz a waskerez hag a douellerez-ze. Ha ma teufe dezañ chom beo en or mesk, Doue ra viro ouz an dougerezed da lakaad o bugel er bed gand aon da weled urupailed nevez hanet. Ra vezo kaloneg ar vartoled bemdeiz Doue e-keñver ar horvetennou gwasa nemed e-keñver ar re a hwezfe en deiz-ze, ra vezo ive kaset da netra kemend emgleo bet sinet en deiz-ze , ya! ra vezo al lealded heh unan troet en drubarderez!
Filip: En ano Doue itron, ne vo ket posub deoh teurel ho malloz war an darvoudou on- eus kaset da benn hirio! Enor va hurunenn am boa roet deoh.
Konstañz: Touellet on bet ganeoh. Ho kurunenn n’eo nemed un dam-kurunenn, eur hoz kelh houarn merglet a lamm a-ziwarnañ tammouigou alaouret pa stoker outañ. Gevier gros oh-eus livet din forz pegement. Deuet e vefeh amañ, sañset, evid toulla didoulla gand ho kleze korfou va enebourien ha setu-c’hwi o veska ho kwad ganto en eun doare a ro dezo eun nerz nevez. Nerz ar brezel hag ho kanoliou karget beteg ar skoulm n’int bremañ nemed karantez ha peoh e-keñver hoh enebourien deuet da veza mignoned vad deoh diwar va houst war lerh an emgleo heuguz oh-eus sinet ganto. O! paradoz benniget! kabal d’ar zoudarded ha beh d’e roueed gaouier! eun intañvez paour eo a houlenn an dra -ze o skuilha he daelou, O roue oll halloudeg, ra vezo va gwaz a-ziwar bremañ. Arabad deoh lezel ar peoh da ren pelloh war an deiz milliget – ze. Ra vo torret emgleo an daou roue-ze kent na vo gwelet an heol o vond da guzad! o! selaou ahanon!
Ostrich: Peoh Itron! peoh mar plij!
Konstañz: Ar brezel eo e fell din digeri en-dro ha nompaz ar peoh! Ar peoh a zo eur brezel evidon-me. O Limoges! O Ostrich! Ar vez a zo ganit war da grohenn gwadeg a leon, immobil ma ‘ z out, digalonekaet a-grenn, Eun den laosk a zo bihan e feiz ha braz e behedou! Te hag a lak atao da nerz war an tu gounid! Te hag a vefe marheg ar blanedenn ha na stourmfe eviti nemed pa vez ar zantez kolo-ze en da gichenn o rei dit eur goudor a-zoare! Te ive hag a zo eur gaouier euz ar re vrasa prest atao da blanta kaol gand ar roueed galloudusa, eun den a zo berr e spered med hir spontuz e deod e-neus touet din e vefe va difennour gwella. Eur hoz gwaz aonig n’e-neus ket a wad dindan e ivinou n’az poa ket touet dirazon e hellen-me konta war ar marheg a oa ahanout hag e lakfes da nerz ha da chañs diouz va zu? Ha setu – te chenchet tu d’az roched war da gein ? Te hag a zo ganit war da skoaz eur hrohenn leon e vefe gwelloh dit, gand ar vez, tennañ anezañ kuit a-ziwar da vemprou a grener e reor ha lakaad en e blas eur hrohenn leue.
Ostrich: Ha ma vije bet lavaret din ar homzou-ze gand eur gwaz!
Ar bastard: A-ziwar da vemprou a grener e reor ha lakaad en e blas eur hrohenn leue.
Pour A. De Vigny tu trouveras un extrait de servitude et grandeur militaire dans un brud Nevez… (Histoire du cachet rouge)
Pour l’Illiade et l’odyssée, le compte et bon mais je ne sais pas où…
Pour boileua il faudrait demander à ceux a zo gwalhet o barrikenn…..
De mémoire, ont été traduits en breton de l’anglais : Twain – Poe – L.Frank Baum (tu le trouveras sur « Emban an hirwaz » gratuit – Oscar Wilde – Andersen (wur an hirwaz également)
Alphonse Dauudet – et d’autres encore. Bonne lecture…
Quant à la petite librairie qui éditerait en breton, alors là je tombe des nues. Il y Emgleo Breiz qui le fait et aussi le centre de Tréglonnou ( voir le magazine Ya)…
Mais si tu veux lire ce qu’il y a de plus mauvais en breton alors attaque toi à Tintin ou à Asterix…. Le ridicule ne tuant pas tu peux y aller!
Tu as raison. Le emilleur moyen de savoir si on maîtrise une langue est de la traduire dans une autre….
9à intéresserait sans doute pas makl de monde si tu nous donnais la tarducrion du texte de Sakespeare du breton en français. Je le répéte:
Lodenn gentañ
Emeur dindan telt roue Bro-Hall
Konstañz hag Arzur, a zo en o azez. Ar roue Yann, Filip, Loeiz ha gwenn, Aliénor, Ar bastard, Ostrich, Salisbury ha tud all a zeu tre.
Filip: Gwir eo va merh kaer! An deiz benniget-mañ a vo lidet da viken e Bro-Hall.
Evid e lakaad da splannaad bravoh c’hoaz e ra an heol eun dro fizik euz ar re zouezuza dre derri e houzoug muioh muia. Dre splannder e lagad priziuz e tro en aour an traou disterra war ar hoz douar-mañ. Eun deiz a vloaz laouen a vo an deiz-se evid an amzer da zond!
Konstañz: Eun deiz a walleur eo ha nompaz eun deiz a laouenidigez!
Sevel a ra en he sav
Peseurt talvoudegez e-nefe an deiz-ze? Petra e-neus greet evid lakaad e ano da lugerni mesk-a-mesk gand ar zoñj euz an taoliou kaerra. Gwelloh e vefe diverka diwar ar pemdeiz an deiz a vez-se, an deiz a waskerez hag a douellerez-ze. Ha ma teufe dezañ chom beo en or mesk, Doue ra viro ouz an dougerezed da lakaad o bugel er bed gand aon da weled urupailed nevez hanet. Ra vezo kaloneg ar vartoled bemdeiz Doue e-keñver ar horvetennou gwasa nemed e-keñver ar re a hwezfe en deiz-ze, ra vezo ive kaset da netra kemend emgleo bet sinet en deiz-ze , ya! ra vezo al lealded heh unan troet en drubarderez!
Filip: En ano Doue itron, ne vo ket posub deoh teurel ho malloz war an darvoudou on- eus kaset da benn hirio! Enor va hurunenn am boa roet deoh.
Konstañz: Touellet on bet ganeoh. Ho kurunenn n’eo nemed un dam-kurunenn, eur hoz kelh houarn merglet a lamm a-ziwarnañ tammouigou alaouret pa stoker outañ. Gevier gros oh-eus livet din forz pegement. Deuet e vefeh amañ, sañset, evid toulla didoulla gand ho kleze korfou va enebourien ha setu-c’hwi o veska ho kwad ganto en eun doare a ro dezo eun nerz nevez. Nerz ar brezel hag ho kanoliou karget beteg ar skoulm n’int bremañ nemed karantez ha peoh e-keñver hoh enebourien deuet da veza mignoned vad deoh diwar va houst war lerh an emgleo heuguz oh-eus sinet ganto. O! paradoz benniget! kabal d’ar zoudarded ha beh d’e roueed gaouier! eun intañvez paour eo a houlenn an dra -ze o skuilha he daelou, O roue oll halloudeg, ra vezo va gwaz a-ziwar bremañ. Arabad deoh lezel ar peoh da ren pelloh war an deiz milliget – ze. Ra vo torret emgleo an daou roue-ze kent na vo gwelet an heol o vond da guzad! o! selaou ahanon!
Ostrich: Peoh Itron! peoh mar plij!
Konstañz: Ar brezel eo e fell din digeri en-dro ha nompaz ar peoh! Ar peoh a zo eur brezel evidon-me. O Limoges! O Ostrich! Ar vez a zo ganit war da grohenn gwadeg a leon, immobil ma ‘ z out, digalonekaet a-grenn, Eun den laosk a zo bihan e feiz ha braz e behedou! Te hag a lak atao da nerz war an tu gounid! Te hag a vefe marheg ar blanedenn ha na stourmfe eviti nemed pa vez ar zantez kolo-ze en da gichenn o rei dit eur goudor a-zoare! Te ive hag a zo eur gaouier euz ar re vrasa prest atao da blanta kaol gand ar roueed galloudusa, eun den a zo berr e spered med hir spontuz e deod e-neus touet din e vefe va difennour gwella. Eur hoz gwaz aonig n’e-neus ket a wad dindan e ivinou n’az poa ket touet dirazon e hellen-me konta war ar marheg a oa ahanout hag e lakfes da nerz ha da chañs diouz va zu? Ha setu – te chenchet tu d’az roched war da gein ? Te hag a zo ganit war da skoaz eur hrohenn leon e vefe gwelloh dit, gand ar vez, tennañ anezañ kuit a-ziwar da vemprou a grener e reor ha lakaad en e blas eur hrohenn leue.
Ostrich: Ha ma vije bet lavaret din ar homzou-ze gand eur gwaz!
Ar bastard: A-ziwar da vemprou a grener e reor ha lakaad en e blas eur hrohenn leue.
On attend. Je te fais confiance…..Merci
Bonsoir,
Je suis très herueux d’apprendre que ces traductions existe.
Les lecteurs bretons peuvent se régaler.
Quand à la pièce de shakespeare que vous aimeriez que je traduise,
je vous trouve bien optimiste de croire que cela interresserait tous le monde
en plus je ne parle pas encore le breton, et je ne le lis pas encore non plus.
D’ailleurs il me semble que vous le savez puisuqe vous m’avez conseillé quelqes méthodes d’apprentissage.
aussi
je ne comprends pas le sens de cette moquerie.
j’aimerais si possible avoir des explications sur cette intention !?
cordialement
de Gaël
pour répondre aussi à Gaelz, la revue Gwalarn, entre les deux guerres mondiales, a entrepris, il y a longtemps déja (plus très loin d’un siècle) la traduction des grandes oeuvres du monde. Opération obligatoire pour qui prône modernité et ouverture.
C’est génial !
et cela me donne encore plus envie de lire le breton !
car forcément les oeuvres doivent avoir acquis un truc en plus qui font le charme des bonnes traduction.
Mais bon… il va me falloir être patient car j’imagines que l’on apprend pas à parler en Breton du jour au lendemain
Sacré farser! Sacré farseur sympa! Ne confondons pas mise en boite gentillette avec moquerie!
je finasse juste pour dire que le titre de votre sujet Tiligne est : existe t-il une littérature bretonne ?mais dès la première ligne vous précisez : « Existe-t-il une littérature bretonne en langue bretonne? »
il existe aussi une littérature bretonne en langue française : chateaubriand, guillevic, Grall, René guy Cadou, louis Guilloux, etc.
Oui. Naturellement. Et comment pourrait-il en être autrement. Les bretons ont toujours été très forts pour enrichir ceux qui les appauvrissent dans tous les domaines Anjela Duval l’a assez crié …….Encore faudrait-il entendre.. Passons……
Il existe aussi une littérature bretonne de langue étrangère qui, traduite en français, a donné quelques pièces maîtresses à la bibliothéque du monde, et produits des échos sonores lors de leur passage à « Apostrophes » chez B.Pivot.
C’est le cas du livre de Pauline Gedge » Les seigneurs de la lande » qui est une œuvre époustouflante à tous les points de vue. (Collection « j’ai lu »)
C’est aussi le cas de l’américain Thomas Flanagan ( pour l’Irlande) avec son « Année des français ». Ouvre magistrale qui nous apprend bien des choses surl ‘histoire irlandaise et française passée sous silence (Jetez un coup d’œil sur le web à Général Humbert. Vous en aurez un aperçu…- Mémé chose pour la première si vous faies une recherche sur « Boudicca »…)
Au demeurant, ce type d’œuvre posséde une objectivité historique très rigoureuse qui tranche avec le chauvinisme breton et le mépris parisien habituel……
Il serait intéressant qu’un de nos membres ouvre un fil au sujet de la première de ces œuvres qui apporterait beaucoup en matière de culture bretonne….. L’apprentissage du breton a besoin d’un accompagnement d’œuvres de ce type qui pourrait, autant que faire se peut, de palliatif à l’instruction du milieu….. Et ce n’est pas rien!
A popros de Grall, je n’ai lu de lui que son « Cheval couché »
C’était, paraît-il, une réponse au cheval d’orgueil. J’ai trouvé cela assez étonnant de répondre avec tant de virulence haineuse à un livre qui ne posait pas de question….. Pas étonnant que le Strollad ar Vro-bagan » ait fait de ce grincheux le symbole de la jalousie maladive…..
P.S : Je veux être Chateaubriand ou rien!
Signé: Totor (devinez lequel – c’est mon préféré!)