Dan Ar Braz, Alan Stivell et … Nolwenn Leroy

Oui, j’avais écouté cette interview ! Excellente interview, remplie d’objectivité et de respect ! Merci Dan !

Quelle humilité ! C’est quand même super appréciable venant de piliers de la musique bretonne comme lui ! Savoir être quelqu’un sans se prendre pour quelqu’un, c’est vraiment une qualité qui se perd.

Magnifique interview. A donner des frissons et des larmes aux yeux…c’est beau quelqu’un qui parle avec le coeur.

Merci Alwenn de nous avoir donner l’occasion de partager ce moment.

Laurence

Belle flamme que celle de Dan ar Braz ! Il nous rappelle avec beaucoup de conviction combien c’est le point de fuite, ou mieux de convergence-  de nos positionnements concernant le présent et l’avenir d’une Bretagne bretonnante, et donc au moins libre de sa culture, qu’il est important de considérer dans notre évaluation des faits culturels et politiques, et qui ont le pouvoir de concourir – ou pas – à la poursuite de l’emsav.  La perspective que l’on se donne ainsi permet effectivement de voir qu’il n’ y a pas de contradiction entre le phénoménal succès de l’ Album  » Bretonne » de N. Le Roy et le travail au plus près de l’ Histoire musicale et culturelle des Pays, tel que le font les bagadou par exemple. En effet, nous sommes obligés de constater, ce que fait Dan ar Braz, en écho à la position récurrente de Alan, ici sur son site, et dès qu’il en a l’occasion,  que la popularisation du travail musical et culturel, dimension absolument nécessaire pour que l’idée même de Bretagne continue à exister au delà du cercle des initiés, en passe – hélas- par les canaux du Show Biz.  Ce qui importe n’est ce pas  ce qui avance au plan de la survie de la Bretagne que nous voulons? Nous croyons nous assez riche, assez reconnu, assez nombreux à oeuvrer,  pour nous permettre de faire la fine bouche devant un phénomène social culturel qui peut nous permettre d’avancer?  Tirons les leçons des débats menés dans et autour de l ‘Emsav des années 70 pour regarder avec plus de discernement les occasions qui nous sont données de faire progresser culturellement et politiquement la cause bretonne. D’ailleurs je me dis que si Alan est encore en vie – artistiquement , s’entend – cela tient au fait qu’il ait  trouvé dans sa croyance aux possibles du renouveau culturel les force nécessaires pour ne pas céder aux procès en tout genre qui lui ont été intentés. Je remercie dan ar Braz de nous le rappeler d’une certaine manière et de réaliser ce trait d’union… bretonne evel just !

Demat d’ha pep hini.

avel dous.