Bonjour Alan,
J’ai été très enthousiaste de la lecture de votre article sur la harpe illustré de références.
Je ressens par ce témoignage l’ardeur de la culture bretonne, est-ce cette force qui attire les amoureux de la Bretagne (non Bretons), qui plus est ceux – dont je fais partie – attachés à l’histoire (en général). Ou y a t-il quelque chose en plus qui existe aujourd’hui?
Qu’est ce qui est à vos yeux la plus grande richesse? Quelque chose à conserver, quelque chose à faire vivre ou à faire renaître? Je ne sais pas si mes questions sont claires, peut-être maladroites, et si vous aurez envie d’y répondre mais je tends à connaître mieux ce que j’aime déjà à savoir un pays voisins du mien auquel j’appartiens un peu par affinité, dans la rêverie de mes lectures et de la musique, la votre en particulier.
Ps: Je ne sais pas si on ne joue pas de la guitare de la même façon à Bordeaux qu’en Bretagne mais à Bordeaux c’est très rock’n’roll (limite bruyant) surtout en ce moment où mon mari essaye de reproduire les solos de J.M Ecay (sans base de solfège!). Je crois que je vais aller faire un footing!
Kenavo
Vanessa
il faut conserver et créer, l’un ne va pas sans l’autre; car tout le monde a besoin du plus de diversité, apportée par la bretagne comme d’autres cultures en danger, pour plus d’originalité dans la création.
Je pense que lorsqu’une personne a eu accès à ça, elle est naturellement attirée par ce monde comme « supplémentaire », mystérieux et un peu désorientant qui s’offre à elle.
La guitare « electroceltique » peut être aussi puissante pour une raison toute simple: pour lutter contre celle d’un bagad ou d’un pipe-band, il faut pas mal de Dbs. Bon footing!
Kenavo