
UN SOUFFLE DE LIBERTE, AVEL AR FRANKIZ
UN SOUFFLE DE LIBERTE, AVEL AR FRANKIZ,
hier au parlement français, a ouvert la prison de la pensée, où les républiques, héritières des rois, avaient enfermé les gens depuis si longtemps. Ils imposaient leur propre vision du monde, des arbres, du cosmos, de la science, de la spiritualité, leurs propres fantasmes, leur propre vision patriarcale.
Ils réussissaient à faire croire à des sentiments universalistes, quand leur désir profond inavoué n’était que la suprémacie d’eux-mêmes, de leur communauté, sur le territoire qu’ils dominaient, faute de pouvoir l’imposer à la Terre entière.
Une fenêtre s’est ouverte hier pour la liberté des peuples administrés par la France.
Certains, certaines continuent à craindre que nos désirs de liberté aillent plus loin. Les séparatistes, ce sont eux, elles, les Mélenchonistes-Lepenistes-Blanqueristes et autres nationalistes, qui ne donnaient aux bretons, bretonnes, basques qu’un seul et unique choix pour exister: dehors.
BEVET AR FRANKIZ, BEVET AR BREZHONEG (vive la liberté, vive la langue bretonne) !