Troiad hañv / Tourn…

 

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Troiad hañv / Tournee d'été


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 alan

(@alan)
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Today 9 pm Ohlungen
Ken diwezhatoc’h
À plus tard !

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Posté : 15/08/2016 11:30 am


 alan

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Distreîñ ‘ran doc’h Bro-Elzas, je reviens d’Alsace, avant-dernier concert de l’Eté.
L’accueil par les bénévoles et par les organisateurs à été d’une gentillesse qui ne peut être dépassée.
Luc Arbogast qui se produisait la veille (superbe concert) m’a rejoint sur Tri martolod avec son bouzouki et son incroyable voix haute-contre: un très beau cadeau.
Avant de monter sur scène, j’ai bien aimé la création rencontre des minorités périphériques avec notamment Rozenn Talleg.
Mon concert a conclu joyeusement ce festival, même si certains morceaux de Amzer s’avéraient hyper difficiles à interpréter sans au début un confort audio suffisant (entre le contraste climatique jour-nuit et d’autres aspects acoustiques, il aurait fallu passer 40´ de balance devant le public).
J’espère revenir en Alsace, comme j’espère continuer ce perif culturel.
Périphérique extérieur en septembre (Italie du Nord).

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Posté : 16/08/2016 3:04 pm


 alan

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DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE
Ohlungen – Festival Summerlied Final celtique
Lundi soir, la 11e page du festival Summerlied, à Ohlungen, s’est refermée avec le chantre de la musique celtique.
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Le harpiste Alan Stivell et le rockeur médiéval Luc Arbogast ont offert un final en apothéose lundi soir pour la clôture du festival.
Il y a deux ans, c’était une Bretagne colorée et fantaisiste qui avait ouvert le bal des festivités à Ohlungen. Dans leurs costumes surmontés de chapeaux à plumes délirants, les quatre comparses du groupe Tri Yann avaient embarqué le public dans une aventure maritime peuplée de matelots sur des baleiniers et autres nymphes de la mer. Lundi soir, c’est une Bretagne tout en poésie et en légendes, un hommage au temps inspiré par le rythme des saisons, servis par un Alan Stivell généreux, qui a clôturé la 11e édition du festival Summerlied.
Le barde est apparu vers 21 h 30, sous les applaudissements nourris du public impatient de réécouter celui qui remit à l’honneur la musique celtique dans les années 1970, en Bretagne et dans le monde. Le chanteur et musicien aujourd’hui âgé de 72 ans, tout de noir vêtu, a fendu les volutes de fumigène qui emplissaient la scène pour venir gratter les fils d’or de son instrument de cœur caressé par un doux halo de lumière : la harpe. Celle fabriquée par son père sous ses yeux d’enfant et dont le son, magique, a déclenché en lui une passion irrésistible pour l’univers celtique.
Son tour de force, c’est sa capacité à faire voyager les mots d’un style et d’une langue à l’autre, à faire fusionner la musique de ses racines, celle d’un gamin emporté par un chant gaélique – qu’il restituera avec une incroyable puissance de voix –, avec le rock. Un mariage heureux entretenu depuis les années 70, et qui continue d’émouvoir le public. Après avoir écouté bien sagement les premiers morceaux, celui-ci ne s’est pas fait prier pour accompagner l’artiste et ses comparses en frappant des mains et en dodelinant.
Ses plus anciens titres « que seule une partie du public a pu connaître » donneront un tour plus rock’n’roll au concert. Sous son nez, le drapeau breton s’agite au son de la cornemuse écossaise, de la bombarde et de la flûte, qu’il manie tout aussi bien. Le public n’en perd pas un fil – ou une corde –, transporté par les volutes tantôt oniriques du chant celte, tantôt énergiques du trio harpe guitare percussions.
Un drapeau alsacien posé sur les épaules
Au fil de la soirée, le concert gagne en intensité. On applaudit, on crie, on rejoint le devant de la scène pour exécuter quelques rondes. L’artiste, respectueux de son public, l’accompagnera à plusieurs reprises et sera même récompensé d’un drapeau alsacien, qu’il posera sur ses épaules.
Avec le rockeur médiéval Luc Arbogast en invité surprise, Alan Stivell offrira un final en apothéose sur le très attendu Tri Martolod dont il fera le premier arrangement folk rock entre 1966 et 1970 à la harpe celtique cordée métal. Les spectateurs, debout, répètent en cœur, d’une seule voix, « lalilala ». Sur un ultime Bro goz, « hymne breton ouvert sur toutes les humanités », des couples de spectateurs se forment pour esquisser des pas de danse traditionnelle dans les allées du parterre. Les auditeurs les plus éloignés hâtent le pas jusqu’au-devant de la scène pour voir de plus près leur idole, emportés par la fièvre qui gagne la clairière. Alan Stivell les saluera au côté de l’équipe du festival venue le rejoindre sur scène pour un au revoir fraternel sous les oriflammes bretonnes et alsaciennes.
E. S.

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Posté : 25/08/2016 7:01 pm


 alan

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Ben venudo e Bustofolk
Today/ hiriv!

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Posté : 11/09/2016 9:28 am


 alan

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grazie mile al publico di BustoFolk, aux organisateurs, aux amis venus, à Guerino qui m’a prêté sa cornemuse écossaise, à d’autres musiciens comme Green Circle !
Ciao ha Kenavo Italia!

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Posté : 13/09/2016 4:04 pm


 alan

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SETU: ECHU MA ZROIAD HAÑV.
Voilà: finie ma tournée d’Eté.
Waraok, En avant,
je marcherai

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Posté : 13/09/2016 4:07 pm


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