LE GALLO
J’ai du mal à trouver une recherche d’objectivité.
Ce petit texte peut participer à une réflexion.
J’ai du respect pour toutes les cultures et le montrer est la moindre des choses, ceci aidant les gens qui s’y rattachent pour leur propre dignité et confiance en eux-mêmes.
Mais la recherche de la vérité indiscutable ne va certainement pas à l’encontre de ce que je viens de dire.
Je n’ai toujours pas vu démontré qu’il y aurait un gallo de Bretagne avec une identité globale distincte du gallo de Mayenne.
Je crois par contre qu’il existe, comme partout, diverses variantes dans un ensemble plus grand qui, lui, se trouve à cheval entre la Bretagne et les territoires voisins.
Jusqu’à preuve du contraire, je considère le gallo comme commun à l’Est-Bretagne et la région voisine plus à l’Est.
Et cela fait du gallo une langue ou dialecte (selon les points de vue encore une fois) trans-frontalier et le breton la seule langue spécifique de la Bretagne.
Cette spécificité du breton (dernière langue celtique de l’Europe continentale) est une réalité. Certains défenseurs du gallo l’ignorent simplement. Mais d’autres refusent de la regarder en face, à travers ce qui ressemble à un orgueil mal placé (désolé de dire qu’il confine à une manipulation).
Je suis pour donner à la culture des Marches de Bretagne tout ce qu’offre le statut des Minorités nationales (et donc une minorité nationale dans la minorité nationale). Dans ce statut, toute la dignité des Gallos est reconnue.
J’ai du mal à trouver une recherche d’objectivité.
Ce petit texte peut participer à une réflexion.
J’ai du respect pour toutes les cultures et le montrer est la moindre des choses, ceci aidant les gens qui s’y rattachent pour leur propre dignité et confiance en eux-mêmes.
Mais la recherche de la vérité indiscutable ne va certainement pas à l’encontre de ce que je viens de dire.
Je n’ai toujours pas vu démontré qu’il y aurait un gallo de Bretagne avec une identité globale distincte du gallo de Mayenne.
Je crois par contre qu’il existe, comme partout, diverses variantes dans un ensemble plus grand qui, lui, se trouve à cheval entre la Bretagne et les territoires voisins.
Jusqu’à preuve du contraire, je considère le gallo comme commun à l’Est-Bretagne et la région voisine plus à l’Est.
Et cela fait du gallo une langue ou dialecte (selon les points de vue encore une fois) trans-frontalier et le breton la seule langue spécifique de la Bretagne.
Cette spécificité du breton (dernière langue celtique de l’Europe continentale) est une réalité. Certains défenseurs du gallo l’ignorent simplement. Mais d’autres refusent de la regarder en face, à travers ce qui ressemble à un orgueil mal placé (désolé de dire qu’il confine à une manipulation).
Je suis pour donner à la culture des Marches de Bretagne tout ce qu’offre le statut des Minorités nationales (et donc une minorité nationale dans la minorité nationale). Dans ce statut, toute la dignité des Gallos est reconnue.