Un Nolwennien convaincu (ou plutôt conquis) et comblé peut-il devenir Stivellnaute ?
Ben oui, la preuve ! je viens de m’inscrire.
Depuis quelques semaines, allez savoir pourquoi, je m’intéresse davantage que par le passé au patrimoine musical de mon pays : la Bretagne.
Et naviguant de site en site, m’éduquant aux bornes d’écoute des Espaces Culturels de grands centres commerciaux, je suis arrivé à la conclusion que j’aimais vraiment beaucoup le dernier album d’Alan Stivell : Emerald.
En lisant les commentaires qui précèdent dans ce fil « Vive le Trégor ! », j’ai eu envie de dire ici que certains bretons seraient bien inspirés de réécouter : « Brittany’s – Ar bleizi mor », en s’aidant au besoin de l’explication de texte donnée par M. Alan Stivell lui-même au Journal Le Télégramme le 18 octobre 2009 : http://prixdudisque.blogs.letelegramme.com/archive/2009/10/18/alan-stivell-…
« Le monde sans la Bretagne n’existe pas, pas plus que la Bretagne n’existe sans le monde. »
J’ajouterai que si l’on peut être fier d’être breton, il n’y a vraiment pas de quoi être fier à prétendre l’être plus que les autres.
Puisse le tout nouveau Code de Marque BRETAGNE contribuer à ouvrir un peu les idées. J’y crois. Si beaucoup de bretons s’y mettent, alors la vague actuelle sera suivie de nombreuses autres aussi belles.
Je plussoie au commentaire de ploem.
» L’identité » Bretonne ne se restreint pas au massif armoricain et ses contours et le festival inter-celtique de Lorient, ce n’est pas le pèlerinage de Lourdes non plus.
Non, mais c’est un des seuls « rassemblements » interceltique. Les autres pays celtes ont hélas tendance à ne pas être vraiment interceltiques. Des irlandais qui jouent de la musique bretonne, il y en a peu. L’inverse, il y en a des dizaines. Ce n’est pas un reproche que je leur fait. Mais tout cela montre que le Festival Interceltique de Lorient est tout de même très important, car c’est l’un des très rares évènements où tous les Celtes sont culturellement réunis.
Et personne n’empêche Nolwenn d’aller à Lourdes 
(les smilies permettent d’indiquer que c’est de l’humour ou que cela prétend en être. dans l’humour on autorise généralement l’ironie lorsqu’elle n’est pas trop méchante et ici de plus il s’agit d’un personnage public.)
C’est drôle en effet !
« Bonne « boucle » pour Karwenn qui ne se trompe pas d’interprète pour ce très beau poème d’anjela Duval »
Voilà typiquement ce que j’appellerais du snobisme et du « terrorisme intellectuel ». L’argument d’autorité !
Le gros problème avec les critiques contre Nolwenn Leroy, c’est leur médiocrité et leur mesquinerie. Je n’ai pas trouvé une seule critique un tant soit peu intelligente. Pourtant, tout ce qu’il est possible de dire contre elle a été dit.
Personne n’est obligé de l’aimer ou d’aimer son disque. Tous les goûts sont parait-il dans la nature. On a le droit de ne pas aimé et de le dire. Le problème c’est quand on cherche à culpabiliser ceux qui aiment et qu’on joue de l’argumentation d’autorité et de l’intimidation intellectuelle. Ca n’a heureusement aucun effet.
La « corporation des musiciens bretons » (en tout cas une partie d’entre elle, et une partie de leurs « fans ») s’est semble-t-il illustrée dans ces attaques pas très dignes. Ils n’ont au mieux réussi qu’à se ridiculiser et à montrer une face d’eux pas très sympathique.
Moi j’aime le « Bro Gozh » chanté par Nolwenn Leroy, comme l’ensemble des chansons que j’ai entendu de ce disque jusqu’à présent, sans mépriser ce que d’autres ont fait, font ou feront.
Comme disait Alan, je pense quand même qu’il n’y a pas tant de Bretons qui n’aiment pas cet album.
En fait ce sujet que j’ai ouvert, fait suite à l’émission de Laurent Ruquier » on va s’gêner » à Rennes, avec Alan Stivell comme invité mystère, excellent choix !, par contre je n’avais pas aimé les sifflets lorsque l’on évoquait son nom.
Mais en fait les Rennais, c’est l’autre Bretagne
C’est vrai que je n’ai pas vu beaucoup d’arguments ou critiques valables, je pense que c’est le côté commercial en gros, qui ne plait pas.
« les Rennais, c’est l’autre Bretagne »
???
HUMOUR