Actu, pourquoi pas?
T’inquiètes, des grappes de policiers ont dit déjà qu’ils n’allaient pas pouvoir s’occuper de verbaliser les clients… des prostituées ils pouvaient, en revanche, curieusement.
C’est à tout un système qu’on s’attaque, par tous les bouts (haha) qu’on peut, et il faut bien sûr changer les mentalités en même temps.
Ben oui les policiers c’est avant tout des hommes, des vrais tant qu’à faire… Dans certains pays, il vaut mieux ne pas aller se plaindre à la police, au mieux on se fait rançonner, au pire…Faut dire que les policiers, ils ont aussi assez de boulot comme ça.
« Faut dire que les policiers, ils ont aussi assez de boulot comme ça. »
beeep. mauvais argument, essaie encore.
Pas un argument, une explication …
mmhhh…. non plus.
Ils ont largement le temps de nous faire chier sur les routes à des endroits sans risque, histoire de mettre du pèze dans les caisses de l’état, donc bon…
explication plus simple: ce sont majoritairement des hommes voire des clients, parce que le client de prostituée c’est monsieur tout le monde, le plus souvent avec une vie de famille banale, ou bien des potes de clients ou des types convaincus par le discours ambiant de la ‘liberté de se vendre’ (expression qui cache qu’il s’agit donc d’une liberté d’acheter, pour les dominants)
C’est pas faux non plus…
je dis moi aussi youpi……ET BRAVO POUR la vote de la loi sur le renforcement de la lutte contre la prostitution
pour vous éclairer :un article du républicain lorrain paru le Mercredi 27 Novembre 2013 sur ce qui se passe à Sarrebruck en allemagne ( à deux pas de la frontière ) ou la prostitution a été réglementée en 2002. heureusement, on n’a pas suivi cette voie .(ps, j’ ai fait un copier coller de l’article, n’arrivant pas à joindre la page de journal en question)
« l’exploitation de la prostitution et donc de la femme vue comme une entreprise normale » c’est édifiant…..
voilà l’article :
« A Sarrebruck, les limites du politiquement correct – Le développement des maisons closes n’a pas éradiqué la prostitution de rue
Ses affaires étaient déjà florissantes à Stuttgart, Francfort et en Autriche. Mais ce que Jürgen Rudloff a trouvé à Sarrebruck s’apparente pour lui à un authentique eldorado. À un jet de pierre de la frontière lorraine, et tout juste quelques poignées de kilomètres du richissime Luxembourg, l’homme d’affaires allemand a compris qu’il allait pouvoir exploiter une zone de chalandise aux ressources inépuisables. Dès la fin de cette année, son nouveau projet, le Paradise Island, rapportera à peu près autant qu’un puits de pétrole planté en plein désert.
Sauf qu’il s’agit d’une maison close. Disons plutôt une grande surface du sexe : 6 000 m2 sur cinq étages, une quarantaine d’employés, entre cinquante et cent prostituées selon les jours. L’investissement initial (4,5 millions d’euros) devrait rapidement être amorti : chacune des « prestataires de services érotiques » (sic) doit s’acquitter quotidiennement d’un droit d’entrée de 79 EUR, d’un prélèvement fiscal de 25 EUR, ainsi que de 23 EUR par nuit pour l’hébergement en dortoirs pour celles qui le désirent. À l’exception des 25 EUR reversés au fisc, le gérant du Paradise empoche tout. En revanche, il ne touche pas un euro sur les prestations de ces dames, qui restent (en principe…) libres de fixer leurs tarifs comme bon leur semble. En Allemagne, la prostitution a été légalisée en 2002, à condition d’être pratiquée par des adultes consentants.
Jürgen Rudloff, qui ressemble plus à un animateur télé qu’à un mac de bas étage, fait partie de ceux qui se sont engouffrés dans la brèche, à l’époque. La soixantaine bronzée, ce père de quatre enfants (qui fréquentent évidemment les meilleures écoles) est aujourd’hui en quête de respectabilité pour son business. Les filles qui décident de fréquenter ses établissements bénéficient des meilleures conditions (d’hygiène notamment) pour exercer leur métier, d’un suivi médical, de conseillers en assurances et retraites, etc. En coulisses, certains s’étonnent toutefois du turn-over ultra-rapide des dames qui exercent dans les Paradise. D’autres n’hésitent pas à impliquer Rudloff dans les trafics humains habituels du milieu de la prostitution.
Evidemment, on pourra toujours dire qu’un Paradise vaut mieux que tous les trottoirs. Sauf qu’à Sarrebruck comme ailleurs, l’un ne supprime pas tous les autres. Bien au contraire : dans la zone de chalandise de la capitale sarroise, on estime aujourd’hui à un bon millier les « sex workers » de tous sexes qui draguent sur les trottoirs, par petites annonces, en appartements, ou dans l’un des cent petits bordels discrets « qui attirent la clientèle la plus flippée ». Et souvent la plus dangereuse.
C’est toute l’ambiguïté de la loi de 2002. Partie d’un bon sentiment rouge-vert (socialo-écolo), désormais contestée par les féministes, mais néanmoins défendue par les prostituées elles-mêmes… à condition d’obtenir deux ou trois amendements.
Christian KNOEPFFLER. »
Francine
J ai vu ca , l idee paraît seduisante
http://www.villes-internet.net/tous-les-articles/lire/la-democratie-sinvent…
Gwell
C’est intéressant Gwell
Bon, là je vais grogner (combien étonnant).
Je ne supporte pas les chasseurs, qui se donnent des excuses pour se faire leur petit VietNam au nom d’on sait pas trop quoi comme biterie.
Et donc un lien vers un de mes blogs préférés féministe et antispéciste.
Et dans le même ordre d’idée de prédation des femmes, ce lien là
Actu Breiz et hexagonale aussi par ces temps de Telethon
http://cluster011.ovh.net/~neurobre/joomla1.5/
ET aussi
http://notresclerose.blogspirit.com/archive/2009/03/04/votre-sclerose-temoi…
Gwell
Merci Gwell.
… des bises au passage et plein de bonnes ondes
Bon je m’autoréponds ici au sujet du ‘parti’ appelé Nouvelle Donne, renseignements pris: sert à que dalle. Mais ça fait du sujet media.
edit : ah un comm intéressant sur ce fil
Pour rire (un peu jaune quand même) de tout ça :
https://www.youtube.com/watch?v=LiGp9H5D4TQ#t=57
Yann-Bêr
Merci Harpo !
Je crois bien que j’avais vu le début de cette video mais pas le discours analogie avec chats et souris.
Si l’article n’est plus en ligne, essayez ça:
Voir le Fichier : Confidentielnbsp.pdf