Merci, Lagadeg, pour l evocation du poete Paol Keineg, et du printemps des bonnets rouges, un livre que j avais un temps devore
Gwell
Dons, si j ai bien compris un pacte d avenir, vote en toute hâte, de deux milliards d euros
Une mise en place par le prefet de region donc l Etat
Aucune avancee pour la charte europeenne des langues regionales minoritaires
impasse sur les revendications institutionnelles
Pas mal 
Merci
Gwell
Ce camion peint avec le visage d’Alan et des frères Morvan (je crois du moins !) est absolument magnifique…
oui super, alan et les frères morvan avec les chemises à carreau, il a aussi glenmor mais je pense que sa photo est sur la façade du centre culturel?
MERCI LAGADEG, belles photos bien vivantes!
Francine
A quand l’élection des Préfets au suffrage universel ? Question de Gérard Gautier
A quand la suppression des prefets ?
http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=32231&title=%20R%E9gio…
Gwell
Surtout lire le texte paru dans la Lettre d’Alternatives Economiques mis en lien dans le courrier de G. Gautier. Il y est annoncé la prise en main des budgets régionaux par les préfets.
Provocation ou inconscience ?
C’est ça l’acte 3 de la décentralisation ?
Pourquoi un Conseil Régional alors ?
Yann-Bêr
Je voudrais bien y aller voir depuis ce matin mais pas moyen ca bloque !
Gwell
En attendant, j ai pas pu m empecher
http://www.youtube.com/watch?v=UU2_S4g2Jf0&feature=share&list=PL982…
Par les préfets?? WTF ? Après ce sera quoi, l’armée?
Déjà le mille-feuilles commune, communauté de communes, départements, je sais plus quoi, pour aller jusqu’à région est une usine à gaz particulièrement dépensière avec -au moins dans mon coingg- des emplois inutiles parce que double et occupés par des copains de copains (et il n’y a que des ‘chefs’ c’est impressionnant.. je plains les rares sous fifres qui se tapent donc tout un taf.. inutile en fait), alors que vient faire un préfet au milieu de ce vaste bouzin ??
Voici le lien direct :
http://www.acteurspublics.com/2013/12/05/comment-les-prefets-de-region-vont…
Au cas où ça ne fonctionne pas, je ferai un copier-coller de l’article.
Yann-Bêr
Ca a fait bugger mon vieux mac, mais je retiens du tout début que j’ai pu voir que l’idée serait une simplification de la gestion du mille-feuilles… sans élaguer dans ledit gâteau.
Donc ça reviendrait à poser une autorité de plus, quoi.
Bon faudra que je lise la suite.
Edit, ok, lu (pas la circulaire, flemme). Alors ça ne simplifie pas vraiment, en fait.Et puis, les préfets sont nommés par paris, non ?..
Cela bloque toujours un peu, mais j’ arrive a lire
En attendant, si moi-même j ai pu être destabilisée par tout ce qui a été dit, écrit sur les Bonnets Rouges,
Alan a raison en soulignant qu’une résistance est généralement d’union nationale. ( voir Résistance en 40/45)
Ajouter que la révolution francaise doit pal mal aux bretons : Club des Bretons puis Club des Jacobins.
Ironie de l histoire ? le paradoxe breton ? ( cf mon propos du 19 10 2013 au debut de ce FIL), subtil, complexe difficile a comprendre quand on vit pas sur place
prise en main des budgets régionaux par les préfets !!!.Et oui ! ET le conseil regional alors ??? Ca va faire du reuss
Gwell
Voici le texte intégrale :
Comment les préfets de région vont piloter les budgets régionaux
Dans une circulaire datée du 4 décembre, les ministres Pierre Moscovici et Bernard Cazeneuve précisent la manière dont les préfets de région vont désormais gérer les budgets de leur territoire. La régionalisation de l’administration est en marche, pointent les syndicats.
Le préfet de région arrêtera la répartition des crédits alloués à son territoire entre les différents services de sa région. Il disposera “d’une information régulière sur leur gestion et leur exécution”. Telle est la feuille de route détaillée dans une circulaire des ministres de l’Économie et du Budget, Pierre Moscovici et Bernard Cazeneuve, publiée le 4 décembre à destination des préfets de région (cliquez ici pour consulter la circulaire). L’objet de la circulaire : “Désignation du préfet de région comme responsable de budget opérationnel de programme pour les services territoriaux placés sous son autorité”.
Il s’agit de la déclinaison d’une mesure validée lors du comité interministériel pour la modernisation de l’action publique (Cimap) de juillet dernier. La décision numéro 30 de ce Cimap précisait que, désormais, les préfets seraient “les responsables des budgets opérationnels de programme (BOP)”. Cinq régions ont été désignées pour expérimenter le procédé avant une généralisation en 2014. Concrètement, les préfets de région vont disposer de marges de manœuvre accrues en matière budgétaire, ce qui devrait éviter l’éparpillement des crédits. “Ce processus permettra de conforter la coordination et la cohérence des politiques publiques”, souligne la circulaire.
Niveau central et administration territoriale
Le texte détaille : “Cette décision s’inscrit dans un ensemble de mesures relatif à l’amélioration de la conduite du dialogue de gestion entre le niveau central et l’administration territoriale, visant en particulier à y associer davantage et plus en amont l’administration territoriale.”
Alors que la plupart des syndicats dénoncent l’instauration de “superpréfets de région” qui conduirait à une régionalisation de l’administration et à la fermeture de services publics locaux, la circulaire prend soin de préciser : “Les chefs de services déconcentrés placés sous l’autorité du préfet de région conserveront toute leur place dans la programmation et la gestion des crédits.” Et d’insister : “Ils seront pleinement associés à la répartition des crédits (…) et ils continueront de bénéficier de la mise en place directe des crédits” dans le cadre d’une délégation du préfet.
Un responsable de BOP sera désigné. Il interviendra sur un vaste périmètre comprenant des directions régionales (Dreal, Draaf, Direccte, DRJSCS). Par ailleurs, les utilisateurs des logiciels comptables Chorus des préfectures pourront désormais disposer d’un accès en consultation à tous les budgets opérationnels de programme. Une disposition ultratechnique, certes, mais qui montre concrètement le poids renforcé des préfectures régionales.
Sylvain Henry